Des films qui décalent, déconstruisent notre regard qui place l'homme au centre du vivant. Cris de rage, expérimentations de nouvelles formes de faire ensemble, scandales énergétiques, exploitation des animaux… autant de scènes où déployer son intelligence et sa sensibilité pour mieux connaître et mieux combattre.
Julia Pinget
Réalisatrice
Brieuc Mével
Coordinateur réseau d'éducation populaire à l'environnement et au développement durable
... et les contributions ponctuelles d'autres programmateurs.
6 documentaires
Une immersion dans les déambulations libres des chevaux sauvages de Galice. Plongés dans leur environnement psychologique et sonore, nous respirons en harmonie avec eux. Le cheval, animal de proie, a gardé son instinct de survie, avec la peur comme mécanisme inné. Cet instinct va être mis au défi : capturés, ils vont être forcés de participer à une tradition locale, « le rasage des bêtes ».
Dans la région désertique d’Errachidia (Maroc), soumise à des périodes récurrentes de grande sécheresse, un homme est envoyé pour désensabler un système de galeries d’eau souterraines destiné à l’irrigation des cultures. Avec un sens aigu du cadre et une grande économie de moyens, Driss Aroussi signe une fable cinématographique sur la crise climatique.
_Geographies of Solitude_ est une immersion dans le riche écosystème de l’île de Sable et dans la vie de Zoe Lucas, une naturaliste et une environnementaliste qui habite depuis plus de 40 ans sur cette parcelle de terre isolée dans le nord-ouest de l’océan Atlantique.
L'évolution et l'extinction racontées à partir du point de vue minéral. La géo-biosphère est présentée comme un lieu de possibilité d'évolution, où les humains disparaissent mais où la vie perdure.
Que reste-t-il quand on a le courage, ou l'imprudence, de renoncer à une vie toute tracée, rythmée par le temps qui passe? Sisko, Armelle, Cécilia et Gibbo font du travail précaire dans l'agriculture intensive une façon de survivre dans les ruines du capitalisme et de l'inquiétude un moteur qui les pousse à chercher une nouvelle façon d'être au monde, une terre en vue.
Un peu partout en France, Agnès Varda a rencontré des glaneurs et glaneuses, récupérateurs, ramasseurs et trouvailleurs. Par nécessité, hasard ou choix, ils sont en contact avec les restes des autres. Leur univers est surprenant. Patates, pommes et autres nourritures jetées, objets sans maître et pendule sans aiguilles, c'est la glanure de notre temps. Mais Varda est aussi la glaneuse du titre ...
Une immersion dans les déambulations libres des chevaux sauvages de Galice. Plongés dans leur environnement psychologique et sonore, nous respirons en harmonie avec eux. Le cheval, animal de proie, a gardé son instinct de survie, avec la peur comme mécanisme inné. Cet instinct va être mis au défi : capturés, ils vont être forcés de participer à une tradition locale, « le rasage des bêtes ».
Dans la région désertique d’Errachidia (Maroc), soumise à des périodes récurrentes de grande sécheresse, un homme est envoyé pour désensabler un système de galeries d’eau souterraines destiné à l’irrigation des cultures. Avec un sens aigu du cadre et une grande économie de moyens, Driss Aroussi signe une fable cinématographique sur la crise climatique.
_Geographies of Solitude_ est une immersion dans le riche écosystème de l’île de Sable et dans la vie de Zoe Lucas, une naturaliste et une environnementaliste qui habite depuis plus de 40 ans sur cette parcelle de terre isolée dans le nord-ouest de l’océan Atlantique.
L'évolution et l'extinction racontées à partir du point de vue minéral. La géo-biosphère est présentée comme un lieu de possibilité d'évolution, où les humains disparaissent mais où la vie perdure.
Que reste-t-il quand on a le courage, ou l'imprudence, de renoncer à une vie toute tracée, rythmée par le temps qui passe? Sisko, Armelle, Cécilia et Gibbo font du travail précaire dans l'agriculture intensive une façon de survivre dans les ruines du capitalisme et de l'inquiétude un moteur qui les pousse à chercher une nouvelle façon d'être au monde, une terre en vue.
Un peu partout en France, Agnès Varda a rencontré des glaneurs et glaneuses, récupérateurs, ramasseurs et trouvailleurs. Par nécessité, hasard ou choix, ils sont en contact avec les restes des autres. Leur univers est surprenant. Patates, pommes et autres nourritures jetées, objets sans maître et pendule sans aiguilles, c'est la glanure de notre temps. Mais Varda est aussi la glaneuse du titre ...