Nikolaus Geyrhalter est né en 1972 à Vienne, en Autriche. Documentariste et photographe engagé, il traite l'actualité de manière décalée et très personnelle en abordant, entre autres, les domaines de l'écologie, de l'économie et de la politique. Il tisse de film en film (L'Année après Dayton en 1997 ; Pripyat en 1999 ; Elsewhere en 2001) une œuvre forte et singulière. Notre pain quotidien, sur l’industrie agroalimentaire, est très remarqué lors de sa sortie en salle en 2007. Au cours de la décennie suivante, Geyrhalter examine le travail de nuit en Europe avec Abendland (2011) et les ruines urbaines à travers le monde dans Homo Sapiens (2016). Plus récemment, il a réalisé Exogène (2022), sur notre catastrophique gestion des déchets.
Pendant deux ans, Nikolaus Geyrhalter a placé sa caméra au coeur des plus grands groupes européens agricoles et filmé les employés, les lieux et les différents processus de production pour réaliser une épopée humaine qui interroge et implique intimement, chaque spectateur.
Depuis la Renaissance, les ruines fascinent les artistes venus rêver en Italie à la grandeur des civilisations disparues. Aujourd’hui les friches industrielles, les villes fantômes ou les églises abandonnées semblent suggérer que l’espèce humaine aurait été éradiquée de la surface de la terre. Ne subsisteraient plus que des vestiges de sa vanité, dévorés par une nature florissante et opiniâtre....
Nikolaus Geyrhalter se rend au col du Brenner, où devait être construite une barrière frontalière pour empêcher l'entrée de réfugié·es. Il recueille les points de vue des habitant·es de la région sur ce projet, leur perception d'eux·elles-mêmes ainsi que leur vision des autres.
La vie autour du Danube est déterminée par deux facteurs essentiels : le fleuve lui-même et la singularité de ceux qui en peuplent les berges. Et ils sont nombreux : pêcheurs, gardien de cimetière, moines bouddhistes, locataires de petits jardins, bateliers ayant jeté l'ancre, SDF, soldats. Le grand fleuve relie tous ces gens qui vivent en marge, à "contre-courant". Le film raconte tous ces vis...
Le centre de recherche CERN est une zone autonome et indépendante, un univers parallèle pour ainsi dire. Ici, le scénario du big bang est recréé, afin de trouver la plus petite particule. À l'encontre des sciences appliquées ou industrielles, on cherche au sein du CERN des réponses à des questions de sciences fondamentales. Nikolaus Geyrhalter explore ces moments de tension entre l'Homme et la ...
En 2004, Nikolaus Geyrhalter se rend dans une usine textile à l’avenir incertain, vestige d’une époque révolue où moins d’une dizaine d’employés travaillent encore. Lorsqu’elle ferme ses portes quelques mois plus tard, il décide de poursuivre le tournage, ce qu’il continuera de faire pendant dix ans, observant les trajectoires divergentes et imprévisibles de chacun.
Après la guerre en Bosnie-Herzégovine, Nikolaus Geyrhalter interroge Serbes, Bosniaques et Croates sur les suites du conflit. La guerre a ravagé leur vie et leur pays, et en cette premiere année d'une paix aux enjeux complexes, Rajko, Nermin, Halid, doivent apprendre à se reconstruire.
Située à cinq kilomètres de la centrale nucléaire de Tchernobyl, Pripyat comptait cinquante mille habitants en 1986. Aujourd’hui, c'est une ville fantôme gravement contaminée et sous haute surveillance. Personnel de surveillance, chercheurs, travailleurs du nucléaire, médecins... continuent pourtant à fréquenter quotidiennement le site. Comment survivent-ils dans ce lieu à part ?
Pendant deux ans, Nikolaus Geyrhalter a placé sa caméra au coeur des plus grands groupes européens agricoles et filmé les employés, les lieux et les différents processus de production pour réaliser une épopée humaine qui interroge et implique intimement, chaque spectateur.
Pendant deux ans, Nikolaus Geyrhalter a placé sa caméra au coeur des plus grands groupes européens agricoles et filmé les employés, les lieux et les différents processus de production pour réaliser une épopée humaine qui interroge et implique intimement, chaque spectateur.
Depuis la Renaissance, les ruines fascinent les artistes venus rêver en Italie à la grandeur des civilisations disparues. Aujourd’hui les friches industrielles, les villes fantômes ou les églises abandonnées semblent suggérer que l’espèce humaine aurait été éradiquée de la surface de la terre. Ne subsisteraient plus que des vestiges de sa vanité, dévorés par une nature florissante et opiniâtre....
Nikolaus Geyrhalter se rend au col du Brenner, où devait être construite une barrière frontalière pour empêcher l'entrée de réfugié·es. Il recueille les points de vue des habitant·es de la région sur ce projet, leur perception d'eux·elles-mêmes ainsi que leur vision des autres.
La vie autour du Danube est déterminée par deux facteurs essentiels : le fleuve lui-même et la singularité de ceux qui en peuplent les berges. Et ils sont nombreux : pêcheurs, gardien de cimetière, moines bouddhistes, locataires de petits jardins, bateliers ayant jeté l'ancre, SDF, soldats. Le grand fleuve relie tous ces gens qui vivent en marge, à "contre-courant". Le film raconte tous ces vis...
Le centre de recherche CERN est une zone autonome et indépendante, un univers parallèle pour ainsi dire. Ici, le scénario du big bang est recréé, afin de trouver la plus petite particule. À l'encontre des sciences appliquées ou industrielles, on cherche au sein du CERN des réponses à des questions de sciences fondamentales. Nikolaus Geyrhalter explore ces moments de tension entre l'Homme et la ...
En 2004, Nikolaus Geyrhalter se rend dans une usine textile à l’avenir incertain, vestige d’une époque révolue où moins d’une dizaine d’employés travaillent encore. Lorsqu’elle ferme ses portes quelques mois plus tard, il décide de poursuivre le tournage, ce qu’il continuera de faire pendant dix ans, observant les trajectoires divergentes et imprévisibles de chacun.
Après la guerre en Bosnie-Herzégovine, Nikolaus Geyrhalter interroge Serbes, Bosniaques et Croates sur les suites du conflit. La guerre a ravagé leur vie et leur pays, et en cette premiere année d'une paix aux enjeux complexes, Rajko, Nermin, Halid, doivent apprendre à se reconstruire.
Située à cinq kilomètres de la centrale nucléaire de Tchernobyl, Pripyat comptait cinquante mille habitants en 1986. Aujourd’hui, c'est une ville fantôme gravement contaminée et sous haute surveillance. Personnel de surveillance, chercheurs, travailleurs du nucléaire, médecins... continuent pourtant à fréquenter quotidiennement le site. Comment survivent-ils dans ce lieu à part ?
Pendant deux ans, Nikolaus Geyrhalter a placé sa caméra au coeur des plus grands groupes européens agricoles et filmé les employés, les lieux et les différents processus de production pour réaliser une épopée humaine qui interroge et implique intimement, chaque spectateur.