Abbas Kiarostami (1940-2016) fait partie de la Nouvelle Vague du cinéma iranien à la fin des années 60. Il y développe l’utilisation de dialogues poétiques et d'une narration allégorique pour traiter de questions politiques et philosophiques. Lors de la révolution de 1979, il fait le choix de rester en Iran et réalise ses films au sein du Kanoon, un institut d'éducation à l'image où il expérimente sa méthode et son cinéma. Son goût pour filmer l'enfance est présent dans toute son œuvre et notamment dans Où est la maison de mon ami ?, premier film de sa trilogie réalisée dans le village de Koker et qui, avec Et la vie continue et Au travers des oliviers, lui apportera à partir des années 1990 une reconnaissance internationale. En 1997, il obtient la Palme d'or au Festival de Cannes pour Le Goût de la cerise. Il se tourne ensuite vers des œuvres plus expérimentales. Figure majeure de l'art contemporain, il est également reconnu pour ses installations, poèmes et photographies.
Nematzadeh n’a pas fait ses devoirs sur le cahier prévu à cet effet : au prochain oubli, il sera renvoyé ! Ce soir-là, son camarade Ahmad emporte par mégarde le cahier de Nematzadeh. Ahmad se lance à la recherche de la maison de son ami dans les hameaux voisins pour lui rendre son cahier…
Après le tremblement de terre qui a ravagé le Nord-Ouest de l’Iran en 1990, un cinéaste et son fils tentent de rejoindre le village de Koker, durement touché par le séisme. L’homme s’inquiète de savoir si les deux enfants qui jouaient dans _Où est la maison de mon ami ?_ d’Abbas Kiarostami sont encore en vie.
Une équipe de cinéma s’installe, parmi les oliviers, dans un village du nord de l’Iran qui vient d’être dévasté par un tremblement de terre. Keshavarz, le réalisateur du film qui s’intitule _Et la vie continue_, est à la recherche de ses acteurs.
Dans une classe, un élève chahute. Personne ne dénonce le coupable. Le professeur expulse sept garçons, dont le coupable, pendant une semaine. Cas numéro 1 : l’un d’entre eux finit par dénoncer son camarade. Cas numéro 2 : personne ne dénonce le fautif. Le cinéaste projette ces deux cas à des adultes et recueille leurs avis.
Cinéphile obsessionnel et sans emploi, Hossein Sabzian se fait passer pour le célèbre cinéaste Mohsen Makhmalbaf à qui il ressemble. Il s’insinue, soi-disant pour diriger un film, dans une famille iranienne bourgeoise, ne résistant pas à la tentation de disposer des autres tout en jouant lui-même à être un autre. Une fois démasqué, l’homme est traîné devant la justice pour escroquerie. Apprenan...
Nematzadeh n’a pas fait ses devoirs sur le cahier prévu à cet effet : au prochain oubli, il sera renvoyé ! Ce soir-là, son camarade Ahmad emporte par mégarde le cahier de Nematzadeh. Ahmad se lance à la recherche de la maison de son ami dans les hameaux voisins pour lui rendre son cahier…
Après le tremblement de terre qui a ravagé le Nord-Ouest de l’Iran en 1990, un cinéaste et son fils tentent de rejoindre le village de Koker, durement touché par le séisme. L’homme s’inquiète de savoir si les deux enfants qui jouaient dans _Où est la maison de mon ami ?_ d’Abbas Kiarostami sont encore en vie.
Une équipe de cinéma s’installe, parmi les oliviers, dans un village du nord de l’Iran qui vient d’être dévasté par un tremblement de terre. Keshavarz, le réalisateur du film qui s’intitule _Et la vie continue_, est à la recherche de ses acteurs.
Dans une classe, un élève chahute. Personne ne dénonce le coupable. Le professeur expulse sept garçons, dont le coupable, pendant une semaine. Cas numéro 1 : l’un d’entre eux finit par dénoncer son camarade. Cas numéro 2 : personne ne dénonce le fautif. Le cinéaste projette ces deux cas à des adultes et recueille leurs avis.
Cinéphile obsessionnel et sans emploi, Hossein Sabzian se fait passer pour le célèbre cinéaste Mohsen Makhmalbaf à qui il ressemble. Il s’insinue, soi-disant pour diriger un film, dans une famille iranienne bourgeoise, ne résistant pas à la tentation de disposer des autres tout en jouant lui-même à être un autre. Une fois démasqué, l’homme est traîné devant la justice pour escroquerie. Apprenan...