"En 1980, Jean Collet, qui dirigeait une "collection" à l’Institut National de l’Audiovisuel, m’a proposé de tourner un des six téléfilms prévus sur le thème "Le Grand Jour". Ne sachant pas nager, j’ai imaginé que ce serait un grand jour pour moi que celui où j’apprendrais à nager. Une option totalement imaginaire, car je me fous totalement de savoir nager ou pas. Le film raconte donc mon rapport à l’eau avant la date du grand jour, et mon odyssée ponctuelle de l’apprentissage." Luc Moullet
Réalisateur | Luc Moullet |
Acteurs | Christophe Postic, Christophe Postic, Pascale Paulat, Pascale Paulat |
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La seule évocation du nom de Luc Moullet suffit à rappeler à notre souvenir les scènes hilarantes de "Ma première brasse" et le tour de force narratif de ce film, si décalé. Face caméra, Luc Moullet, s’interroge. À 43 ans, il va tenter d’apprendre à nager. L’idée du film est là et en parfait pataphysicien, il va la pousser jusqu’à l’absurde. On se délecte à suivre ce récit autobiographique dans lequel, personnage pince sans rire, il nous embarque pour 43 minutes de rire et de dérision.
Pascale Paulat et Christophe Postic
Co-directeurs artistiques du festival des États généraux du documentaire à Lussas
La seule évocation du nom de Luc Moullet suffit à rappeler à notre souvenir les scènes hilarantes de "Ma première brasse" et le tour de force narratif de ce film, si décalé. Face caméra, Luc Moullet, s’interroge. À 43 ans, il va tenter d’apprendre à nager. L’idée du film est là et en parfait pataphysicien, il va la pousser jusqu’à l’absurde. On se délecte à suivre ce récit autobiographique dans lequel, personnage pince sans rire, il nous embarque pour 43 minutes de rire et de dérision.
Pascale Paulat et Christophe Postic
Co-directeurs artistiques du festival des États généraux du documentaire à Lussas