Quand le documentaire sait trouver les chemins pour aller très près, filmer dans l’intimité et raconter des histoires qui nous touchent tout proche.
13 documentaires
Le mensonge et la culpabilité sont au cœur de la relation de Patrick avec sa mère Randa. Par le biais de messages audio et appels vidéo collectés à travers les années, il dresse un portrait de la vie de sa mère au Liban et de la sienne en Belgique. Tour à tour émouvant, provocateur et hilarant, _Mea Culpa_ interroge les liens entre identités nationales et sexuelles d’un jeune émigré palestinien.
Dans le métro et la gare Saint-Lazare, un jeune homme rêve de s'évader de la grisaille et de la vie quotidienne. Des clichés en couleur de cartes postales, de stations de métro ou d'enseignes, symbolisant des destinations lointaines, se mêlent aux images en noir et blanc de la réalité dans une sorte d'invitation au voyage.
Un jeune homme retrouve dans une vieille ferme abandonnée des Vans en Ardèche quelques cinquante lettres et un cahier oublié là. De retour à Paris, il découvre qu'il s'agit d'une correspondance amoureuse entre une jeune paysanne et un capitaine pendant la guerre 14-18. Le film recrée cette histoire d'amour, avec des images de Paris et du vieux Havre en toile de fond.
« Cecilia est la mère du père de mon fils. Elle a filmé la vie de sa famille avec un caméscope pendant plus de 15 ans. Aujourd’hui, elle raconte ses expériences et je visionne ces images. » (Tana Gilbert Fernandez)
« Quelques cabanes construites à flanc de colline en marge de la société et sans les hommes. Un lieu refuge, de transformation collective et féministe. Depuis cette lisière, aux côtés de celles qui la construisent, j’interroge ma place dans la nature et la société, dans mon couple, la liberté de mon corps et d’avoir un enfant. » (Éva Tourrent)
« Ce film commence le cinq mars. Tous les ans à cette date précise, une fourmi entre sous ma porte. Pour elle, c’est l’arrivée du printemps pour moi c’est l’anniversaire de ma mère que j’aimerais rendre éternelle, mais elle a un cancer. Moi, ma colonne vertébrale est en forme de S et je suis à la veille d’une dangereuse opération. J’ai eu envie, besoin de faire partager avec humour nos luttes e...
J’ai vécu à Bois-d’Arcy entre mes six et mes dix ans. Mes souvenirs ont perdu de leur précision. Qui sait ce que le passé me réserve ?
Dans un petit village de l’Est de la France se répètent quotidiennement les mêmes gestes. Couper du bois, traire une vache, coudre un vêtement, faire sortir un légume de terre... Autant d’actions répétées de génération en génération, de jour en jour jusqu’à l’épuisement des corps. À travers la figure de son père, le narrateur évoque son enfance passée dans ce village et son ra...
Lorsque la guerre éclate à Bagdad au début des années 90, Siham et Rakan décident de combattre les robots tueurs pour s’échapper de la ville et protéger l’avenir de leur nouvelle-née. Dans un univers magistralement inspiré des anime japonais, Tabarak Allah Abbas donne vie à l’histoire de ses parents tout en rendant hommage à leur courage.
Depuis sept ans, un homme vit dans un fauteuil roulant. Sa femme s'occupe de lui chaque jour. C'est le quotidien que Julia Loktev filme, simplement. Celui de son père et de sa mère. Elle les regarde vivre et entre parfois elle-même dans le film.
The Roller, the Life, the Fight
Durée : 4h15Hazem arrive en Belgique après un douloureux voyage depuis Gaza. Elettra arrive à Bruxelles pour y étudier le cinéma documentaire. Leurs premiers instants ensemble déclenchent le désir de se connaître et la caméra devient l’outil pour s’écouter. Exils et migration intérieure permettent de se rejoindre là où les regards sont plus doux et justes.
À travers le texte de Didier Eribon interprété par Adèle Haenel, _Retour à Reims [Fragments]_ raconte en archives une histoire intime et politique du monde ouvrier français du début des années 50 à aujourd’hui.
Le mensonge et la culpabilité sont au cœur de la relation de Patrick avec sa mère Randa. Par le biais de messages audio et appels vidéo collectés à travers les années, il dresse un portrait de la vie de sa mère au Liban et de la sienne en Belgique. Tour à tour émouvant, provocateur et hilarant, _Mea Culpa_ interroge les liens entre identités nationales et sexuelles d’un jeune émigré palestinien.
Dans le métro et la gare Saint-Lazare, un jeune homme rêve de s'évader de la grisaille et de la vie quotidienne. Des clichés en couleur de cartes postales, de stations de métro ou d'enseignes, symbolisant des destinations lointaines, se mêlent aux images en noir et blanc de la réalité dans une sorte d'invitation au voyage.
Un jeune homme retrouve dans une vieille ferme abandonnée des Vans en Ardèche quelques cinquante lettres et un cahier oublié là. De retour à Paris, il découvre qu'il s'agit d'une correspondance amoureuse entre une jeune paysanne et un capitaine pendant la guerre 14-18. Le film recrée cette histoire d'amour, avec des images de Paris et du vieux Havre en toile de fond.
« Cecilia est la mère du père de mon fils. Elle a filmé la vie de sa famille avec un caméscope pendant plus de 15 ans. Aujourd’hui, elle raconte ses expériences et je visionne ces images. » (Tana Gilbert Fernandez)
« Quelques cabanes construites à flanc de colline en marge de la société et sans les hommes. Un lieu refuge, de transformation collective et féministe. Depuis cette lisière, aux côtés de celles qui la construisent, j’interroge ma place dans la nature et la société, dans mon couple, la liberté de mon corps et d’avoir un enfant. » (Éva Tourrent)
« Ce film commence le cinq mars. Tous les ans à cette date précise, une fourmi entre sous ma porte. Pour elle, c’est l’arrivée du printemps pour moi c’est l’anniversaire de ma mère que j’aimerais rendre éternelle, mais elle a un cancer. Moi, ma colonne vertébrale est en forme de S et je suis à la veille d’une dangereuse opération. J’ai eu envie, besoin de faire partager avec humour nos luttes e...
J’ai vécu à Bois-d’Arcy entre mes six et mes dix ans. Mes souvenirs ont perdu de leur précision. Qui sait ce que le passé me réserve ?
Dans un petit village de l’Est de la France se répètent quotidiennement les mêmes gestes. Couper du bois, traire une vache, coudre un vêtement, faire sortir un légume de terre... Autant d’actions répétées de génération en génération, de jour en jour jusqu’à l’épuisement des corps. À travers la figure de son père, le narrateur évoque son enfance passée dans ce village et son ra...
Lorsque la guerre éclate à Bagdad au début des années 90, Siham et Rakan décident de combattre les robots tueurs pour s’échapper de la ville et protéger l’avenir de leur nouvelle-née. Dans un univers magistralement inspiré des anime japonais, Tabarak Allah Abbas donne vie à l’histoire de ses parents tout en rendant hommage à leur courage.
Depuis sept ans, un homme vit dans un fauteuil roulant. Sa femme s'occupe de lui chaque jour. C'est le quotidien que Julia Loktev filme, simplement. Celui de son père et de sa mère. Elle les regarde vivre et entre parfois elle-même dans le film.
The Roller, the Life, the Fight
Durée : 4h15Hazem arrive en Belgique après un douloureux voyage depuis Gaza. Elettra arrive à Bruxelles pour y étudier le cinéma documentaire. Leurs premiers instants ensemble déclenchent le désir de se connaître et la caméra devient l’outil pour s’écouter. Exils et migration intérieure permettent de se rejoindre là où les regards sont plus doux et justes.
À travers le texte de Didier Eribon interprété par Adèle Haenel, _Retour à Reims [Fragments]_ raconte en archives une histoire intime et politique du monde ouvrier français du début des années 50 à aujourd’hui.