Quand le documentaire sait trouver les chemins pour aller très près, filmer dans l’intimité et raconter des histoires qui nous touchent tout proche.
9 documentaires
J’ai vécu à Bois-d’Arcy entre mes six et mes dix ans. Mes souvenirs ont perdu de leur précision. Qui sait ce que le passé me réserve ?
« Ce film commence le cinq mars. Tous les ans à cette date précise, une fourmi entre sous ma porte. Pour elle, c’est l’arrivée du printemps pour moi c’est l’anniversaire de ma mère que j’aimerais rendre éternelle, mais elle a un cancer. Moi, ma colonne vertébrale est en forme de S et je suis à la veille d’une dangereuse opération. J’ai eu envie, besoin de faire partager avec humour nos luttes e...
Lorsque la guerre éclate à Bagdad au début des années 90, Siham et Rakan décident de combattre les robots tueurs pour s’échapper de la ville et protéger l’avenir de leur nouvelle-née. Dans un univers magistralement inspiré des anime japonais, Tabarak Allah Abbas donne vie à l’histoire de ses parents tout en rendant hommage à leur courage.
Dans un petit village de l’Est de la France se répètent quotidiennement les mêmes gestes. Couper du bois, traire une vache, coudre un vêtement, faire sortir un légume de terre... Autant d’actions répétées de génération en génération, de jour en jour jusqu’à l’épuisement des corps. À travers la figure de son père, le narrateur évoque son enfance passée dans ce village et son ra...
Depuis sept ans, un homme vit dans un fauteuil roulant. Sa femme s'occupe de lui chaque jour. C'est le quotidien que Julia Loktev filme, simplement. Celui de son père et de sa mère. Elle les regarde vivre et entre parfois elle-même dans le film.
The Roller, the Life, the Fight
Durée : 4h15Hazem arrive en Belgique après un douloureux voyage depuis Gaza. Elettra arrive à Bruxelles pour y étudier le cinéma documentaire. Leurs premiers instants ensemble déclenchent le désir de se connaître et la caméra devient l’outil pour s’écouter. Exils et migration intérieure permettent de se rejoindre là où les regards sont plus doux et justes.
À travers le texte de Didier Eribon interprété par Adèle Haenel, _Retour à Reims [Fragments]_ raconte en archives une histoire intime et politique du monde ouvrier français du début des années 50 à aujourd’hui.
Après des années de séparation, la cinéaste retrouve sa mère, Aïcha, atteinte de la maladie d’Alzheimer. De Bruxelles à Tanger se dessinent, entre pudeur et aveux, les douleurs, les ruptures, les deuils, et les joies : tout ce qui a rythmé l’odyssée d’une famille marquée par l’exil.
Bénédicte est à Sète. Elle s’y sent mal. C’est ici qu’habitait Jeannine, la mère de sa mère. Jeannine n’était pas une mamie gâteau, plutôt l’inverse. Il ne lui reste que cette ville et un journal intime. En parcourant les rues et les archives familiales, elle va tenter de recréer un lien avec cette figure qu’elle n’a jamais vraiment connue.
J’ai vécu à Bois-d’Arcy entre mes six et mes dix ans. Mes souvenirs ont perdu de leur précision. Qui sait ce que le passé me réserve ?
« Ce film commence le cinq mars. Tous les ans à cette date précise, une fourmi entre sous ma porte. Pour elle, c’est l’arrivée du printemps pour moi c’est l’anniversaire de ma mère que j’aimerais rendre éternelle, mais elle a un cancer. Moi, ma colonne vertébrale est en forme de S et je suis à la veille d’une dangereuse opération. J’ai eu envie, besoin de faire partager avec humour nos luttes e...
Lorsque la guerre éclate à Bagdad au début des années 90, Siham et Rakan décident de combattre les robots tueurs pour s’échapper de la ville et protéger l’avenir de leur nouvelle-née. Dans un univers magistralement inspiré des anime japonais, Tabarak Allah Abbas donne vie à l’histoire de ses parents tout en rendant hommage à leur courage.
Dans un petit village de l’Est de la France se répètent quotidiennement les mêmes gestes. Couper du bois, traire une vache, coudre un vêtement, faire sortir un légume de terre... Autant d’actions répétées de génération en génération, de jour en jour jusqu’à l’épuisement des corps. À travers la figure de son père, le narrateur évoque son enfance passée dans ce village et son ra...
Depuis sept ans, un homme vit dans un fauteuil roulant. Sa femme s'occupe de lui chaque jour. C'est le quotidien que Julia Loktev filme, simplement. Celui de son père et de sa mère. Elle les regarde vivre et entre parfois elle-même dans le film.
The Roller, the Life, the Fight
Durée : 4h15Hazem arrive en Belgique après un douloureux voyage depuis Gaza. Elettra arrive à Bruxelles pour y étudier le cinéma documentaire. Leurs premiers instants ensemble déclenchent le désir de se connaître et la caméra devient l’outil pour s’écouter. Exils et migration intérieure permettent de se rejoindre là où les regards sont plus doux et justes.
À travers le texte de Didier Eribon interprété par Adèle Haenel, _Retour à Reims [Fragments]_ raconte en archives une histoire intime et politique du monde ouvrier français du début des années 50 à aujourd’hui.
Après des années de séparation, la cinéaste retrouve sa mère, Aïcha, atteinte de la maladie d’Alzheimer. De Bruxelles à Tanger se dessinent, entre pudeur et aveux, les douleurs, les ruptures, les deuils, et les joies : tout ce qui a rythmé l’odyssée d’une famille marquée par l’exil.
Bénédicte est à Sète. Elle s’y sent mal. C’est ici qu’habitait Jeannine, la mère de sa mère. Jeannine n’était pas une mamie gâteau, plutôt l’inverse. Il ne lui reste que cette ville et un journal intime. En parcourant les rues et les archives familiales, elle va tenter de recréer un lien avec cette figure qu’elle n’a jamais vraiment connue.