"Toi, spectateur qui regarde...” Par cette apostrophe, Alain Cavalier s’adresse à nous, au seuil du film qu’il a consacré à Georges de La Tour, lors de l’exposition qui lui fût dédiée en 1997 à Paris. Ce n’est d’ailleurs pas tant en historien d’art qu’il dialogue avec le peintre du 17e siècle, qu’en cinéaste amoureux d’ombres et de lumière, de visages et de gestes, de beauté et de mystère.
Réalisateur | Alain Cavalier |
Acteur | Sylvain Bich |
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Ce film est une invitation, à voir, à regarder, à partager…
Loin de tout didactisme, de toute Histoire de l’Art officielle, de toute analyse de tableau rigoureuse, Cavalier se fait conteur, passeur. Avec comme point de départ un tableau, il suit (non sans une certaine gourmandise) le fil de sa pensée qui vagabonde : il associe des idées, digresse, juxtapose des images, établit des liens… Il nous raconte son histoire, son rapport personnel à ces œuvres… Bref "son" George de la Tour. Ainsi replace-t-il l’Art pour ce qu’il est (et qu’on oublie trop souvent) : d’abord un dialogue intime entre une œuvre et celui qui la regarde… Et c’est très revigorant !
Sylvain Bich
Projectionniste
Ce film est une invitation, à voir, à regarder, à partager…
Loin de tout didactisme, de toute Histoire de l’Art officielle, de toute analyse de tableau rigoureuse, Cavalier se fait conteur, passeur. Avec comme point de départ un tableau, il suit (non sans une certaine gourmandise) le fil de sa pensée qui vagabonde : il associe des idées, digresse, juxtapose des images, établit des liens… Il nous raconte son histoire, son rapport personnel à ces œuvres… Bref "son" George de la Tour. Ainsi replace-t-il l’Art pour ce qu’il est (et qu’on oublie trop souvent) : d’abord un dialogue intime entre une œuvre et celui qui la regarde… Et c’est très revigorant !
Sylvain Bich
Projectionniste
Français