Après un parcours universitaire dans l’audiovisuel et l’histoire, Corentin Charpentier travaille et s’investit dans des structures qui mêlent cinéma et militantisme : après un passage par une télévision alternative (TV bruits) il travaille maintenant dans des festivals de cinéma (Cinélatino à Toulouse, Résistances à Foix, Peuples et minorités de Douarnenez) ou dans des associations à Toulouse (les Vidéophages, Sens Dessus Dessous , ESMA). Il y fait à la fois la petite main technique mais aussi de la programmation, du court métrage au documentaire. Il cherche à montrer des points de vue, celui des personnes concernées, travailleur·ses, immigré·es, étranger·ères, minorités de genre ou porteur·ses de handicap. Il s’interroge aussi sur les dispositifs qui donnent envie de voir des films, qui permettent aux gens de se rencontrer, de rendre accessible le cinéma avec un focus particulier sur le monde des sourds. Ses camarades sourds lui ont donné comme signe « multicasquette ».
Dans la vallée du Jourdain, des agriculteurs palestiniens luttent pour survivre. Leurs pâturages ont été déclarés zone militaire. L’eau a été détournée vers les colonies israéliennes, où certains sont obligés de travailler. Un camion citerne tente de déjouer les patrouilles militaires et de maintenir l’espoir. À qui est l’eau, à qui est la terre ?
Les violences qui existent n'existent pas
Durée : 20 minutesLes agressions sexuelles n'existent pas. Il n'y a pas d'islamophobie, ni de racisme envers les personnes de couleur. Les minorités sont agressives envers les dominants. Les dominants ont peur de la violence des minorités. Il n'y a pas de violence autre que celle des femmes, des minorités, des racisé·es, des Gilets jaunes, des Gilets noirs, des réfugié·es. « Quand on est fragile (...) on ne...
Dans la vallée du Jourdain, des agriculteurs palestiniens luttent pour survivre. Leurs pâturages ont été déclarés zone militaire. L’eau a été détournée vers les colonies israéliennes, où certains sont obligés de travailler. Un camion citerne tente de déjouer les patrouilles militaires et de maintenir l’espoir. À qui est l’eau, à qui est la terre ?
Les violences qui existent n'existent pas
Durée : 20 minutesLes agressions sexuelles n'existent pas. Il n'y a pas d'islamophobie, ni de racisme envers les personnes de couleur. Les minorités sont agressives envers les dominants. Les dominants ont peur de la violence des minorités. Il n'y a pas de violence autre que celle des femmes, des minorités, des racisé·es, des Gilets jaunes, des Gilets noirs, des réfugié·es. « Quand on est fragile (...) on ne...