Un film pour les faibles, les lent·es, les pas flexibles, les fragiles, les douillet·tes et les trop prudent·es. Pour les habitué·es des points de côté, les abonné·es aux cuisses qui frottent, à la sueur qui brouille la vue, à la peau rougeaude ou au teint livide, au souffle court et aux hauts-le-cœur. Pour celles et ceux qui n’ont pas envie de gagner, qui aimeraient bien mais à qui ça n’arrivera jamais, qui en ont marre de se comparer ou qui ne peuvent pas s’en empêcher.
Réalisateur | Cecilia de Arce |
Acteur | Corentin Charpentier |
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Beaucoup d’entre nous se reconnaîtront dans ce récit sur les nul·les en sport.
Le cours d’EPS a été trop souvent synonyme de l’enfer. Puisque se mouvoir, se comparer aux autres, à l’adolescence, ce n’est pas une sinécure. Alors qu’il peut aussi être le moment de la sociabilité, où on apprend à être soi avec les autres, à progresser quel que soit son niveau. Mais la réussite sportive et la culture de la gagne demeurent, à l’instar du reste de la société.
Avec une série d’entretiens graves mais aussi légers et drôles, Cecilia de Arce revient sur ses expériences difficiles. Un retour sur les traumas d’adolescence, le moment où le corps est en jeu et le regard pointé sur nous, le tout dans un vestiaire moite, le lieu de la réclusion par essence.
Au final chacun·e aujourd’hui raconte un rapport au corps et au sport apaisé (ou presque). Parce que tout le monde aspire à une forme d’expression corporelle, il suffit sans doute parfois d’un peu de pédagogie.
Corentin Charpentier
Régisseur cinéma
Beaucoup d’entre nous se reconnaîtront dans ce récit sur les nul·les en sport.
Le cours d’EPS a été trop souvent synonyme de l’enfer. Puisque se mouvoir, se comparer aux autres, à l’adolescence, ce n’est pas une sinécure. Alors qu’il peut aussi être le moment de la sociabilité, où on apprend à être soi avec les autres, à progresser quel que soit son niveau. Mais la réussite sportive et la culture de la gagne demeurent, à l’instar du reste de la société.
Avec une série d’entretiens graves mais aussi légers et drôles, Cecilia de Arce revient sur ses expériences difficiles. Un retour sur les traumas d’adolescence, le moment où le corps est en jeu et le regard pointé sur nous, le tout dans un vestiaire moite, le lieu de la réclusion par essence.
Au final chacun·e aujourd’hui raconte un rapport au corps et au sport apaisé (ou presque). Parce que tout le monde aspire à une forme d’expression corporelle, il suffit sans doute parfois d’un peu de pédagogie.
Corentin Charpentier
Régisseur cinéma
Français
Anglais