Dans les années 80, du Bronx aux Minguettes, dans les souterrains des villes et leurs banlieues, un mouvement artistique et rebelle s’impose : le « Mouv’ Hip Hop » qui, à travers graffs, rap et danse permet à toute une jeunesse exclue de dire : « J’existe ! ».
Réalisateur | Jean-Pierre Thorn |
Acteur | Corentin Charpentier |
Partager sur |
Dans son travail sur l'histoire ouvrière et syndicale, Jean-Pierre Thorn trouvait logique de se pencher sur la banlieue. Il fut parmi les premiers à poser un regard documentaire sur le hip-hop, la culture suburbaine par excellence. Alors qu’elle existe depuis les années 80, déjà dans les années 90 des danseur·ses se sont professionnalisé·es et ont eu accès à des scènes de spectacle. Le réalisateur mettra pourtant 3 ans à trouver le financement pour la télévision, qui « n’y voyait pas l’intérêt », la considérant comme une sous-culture américaine alors que le hip-hop a aussi des racines françaises.
Des Minguettes à la Courneuve, le montage alterne entre les histoires des précurseur·ses et des longues séquences de danse. Chacun·e nous raconte son parcours, ses galères, mais surtout la passion, l’envie profonde de danser et de trouver sa voie.
Jean-Pierre Thorn poursuivra son regard sur la banlieue avec ses films suivants On n’est pas des marques de vélo ou 93, la belle rebelle.
Corentin Charpentier
Régisseur cinéma
Dans son travail sur l'histoire ouvrière et syndicale, Jean-Pierre Thorn trouvait logique de se pencher sur la banlieue. Il fut parmi les premiers à poser un regard documentaire sur le hip-hop, la culture suburbaine par excellence. Alors qu’elle existe depuis les années 80, déjà dans les années 90 des danseur·ses se sont professionnalisé·es et ont eu accès à des scènes de spectacle. Le réalisateur mettra pourtant 3 ans à trouver le financement pour la télévision, qui « n’y voyait pas l’intérêt », la considérant comme une sous-culture américaine alors que le hip-hop a aussi des racines françaises.
Des Minguettes à la Courneuve, le montage alterne entre les histoires des précurseur·ses et des longues séquences de danse. Chacun·e nous raconte son parcours, ses galères, mais surtout la passion, l’envie profonde de danser et de trouver sa voie.
Jean-Pierre Thorn poursuivra son regard sur la banlieue avec ses films suivants On n’est pas des marques de vélo ou 93, la belle rebelle.
Corentin Charpentier
Régisseur cinéma
Français