François Reichenbach est un cinéaste français né en 1921 et décédé en 1993. Cousin du producteur de cinéma Pierre Braunberger, neveu du collectionneur Jacques Guérin et du peintre Jean Guérin, il a débuté comme commissionnaire de tableaux aux États-Unis. Double national franco-suisse, il a fait des études de musique à Genève. Il a été musicien durant la guerre et a écrit des chansons pour Édith Piaf entre autres. Il s'est ensuite installé en France avant de partir pour les États-Unis. Il commence à réaliser des films au début des années 50, consacrés à des personnalités ou à des impressions ressenties au cours de ses nombreux voyages à travers le monde. Il a ainsi réalisé des portraits d'Orson Welles, Yehudi Menuhin, Arthur Rubinstein, Herbert von Karajan, mais aussi de Johnny Hallyday, Brigitte Bardot, Barbara, Mireille Mathieu, de sportifs, d'artistes, etc. Amateur de masques mexicains, il a fait don de sa collection qui est exposée au Musée d'Arts Africains, Océaniens, Amérindiens de la La Vieille Charité à Marseille.
En sillonnant la route 66, entre le Texas et la Californie, François Reichenbach nous raconte la légende indienne du « Grand Serpent ». Cet ancêtre des Indiens fut supplanté par « l'homme blanc », venu s'approprier ce territoire, en construisant des routes et en forant le pétrole du désert. \* \*Résumé original
« J’ai voulu prendre le citoyen américain depuis sa naissance jusqu’à sa mort et le suivre dans toutes les circonstances cocasses, burlesques, insolites de la vie. J’ai voulu montrer son extraordinaire jeunesse, ses passions, son goût de la violence, ses drames, sa gentillesse et ses bizarreries. Être un témoin curieux, infatigable, parfois même indiscret : tel a été mon but. Mais je ne me suis...
Le jeune toréro mexicain Lomelin va faire sa première corrida. On assiste à tous les instants qui précèdent ce grand moment : répétition inlassable des gestes précis, cérémonie de l'habillement, prière. La concentration et la tension qui règnent sont palpables à mesure que l'heure approche, on retient son souffle jusqu'à l'entrée dans l'arène.
Le carnaval a pour ancêtre la fête des fous. Au Moyen-âge, entre Noël et l’Épiphanie, on avait le droit de faire tout ce qui d’ordinaire était défendu. Les pauvres pouvaient se moquer des riches, les humbles des puissants. On élisait un mendiant "pape des fous", on se déguisait en bœuf, en vache, en cerf ou autres divinités païennes. À la Nouvelle-Orléans, le carnaval a gardé ce goût de libert...
En sillonnant la route 66, entre le Texas et la Californie, François Reichenbach nous raconte la légende indienne du « Grand Serpent ». Cet ancêtre des Indiens fut supplanté par « l'homme blanc », venu s'approprier ce territoire, en construisant des routes et en forant le pétrole du désert. \* \*Résumé original
« J’ai voulu prendre le citoyen américain depuis sa naissance jusqu’à sa mort et le suivre dans toutes les circonstances cocasses, burlesques, insolites de la vie. J’ai voulu montrer son extraordinaire jeunesse, ses passions, son goût de la violence, ses drames, sa gentillesse et ses bizarreries. Être un témoin curieux, infatigable, parfois même indiscret : tel a été mon but. Mais je ne me suis...
Le jeune toréro mexicain Lomelin va faire sa première corrida. On assiste à tous les instants qui précèdent ce grand moment : répétition inlassable des gestes précis, cérémonie de l'habillement, prière. La concentration et la tension qui règnent sont palpables à mesure que l'heure approche, on retient son souffle jusqu'à l'entrée dans l'arène.
Le carnaval a pour ancêtre la fête des fous. Au Moyen-âge, entre Noël et l’Épiphanie, on avait le droit de faire tout ce qui d’ordinaire était défendu. Les pauvres pouvaient se moquer des riches, les humbles des puissants. On élisait un mendiant "pape des fous", on se déguisait en bœuf, en vache, en cerf ou autres divinités païennes. À la Nouvelle-Orléans, le carnaval a gardé ce goût de libert...