Éric Rohmer (de son vrai nom Maurice Henri Joseph Schérer) est un réalisateur français, né en 1920 et décédé en 2010. Comme ses camarades de la Nouvelle Vague, Éric Rohmer a commencé sa carrière dans le cinéma comme critique. Après avoir rédigé ses premiers articles à la fin des années 1940, il rejoint les Cahiers du cinéma peu après leur création au début des années 1950. Il en est le rédacteur en chef de 1957 à 1963. Parallèlement, il réalise tout au long des années 1950 des courts métrages et signe en 1959 son premier long métrage, "Le Signe du Lion". Il prend alors le pseudonyme de Éric Rohmer pour cacher à sa famille ses activités de cinéaste. Il a réalisé au total 23 longs métrages qui constituent une œuvre atypique et personnelle, en grande partie organisée en trois cycles : "Contes moraux", "Comédies et Proverbes" et "Contes des quatre saisons". La pédagogie tient une grande place dans son travail, le jeu aussi. Le libertinage de ses personnages ne va pas sans une morale puritaine. Ils vivent selon des principes, des règles, se définissent des parcours et s’y piègent. Considéré avec Jean-Luc Godard, François Truffaut, Claude Chabrol et Jacques Rivette comme l'une des figures majeures de la Nouvelle Vague, il a obtenu en 2001 à la Mostra de Venise un Lion d'or pour l'ensemble de sa carrière.
Le statut de la femme étudiante a fort changé dans les années 60, la preuve par l'exemple avec Denise Basdevant, une jeune mère poursuivant ses études à la Nouvelle Faculté de Sciences d'Orsay.
Tournée à Copenhague chez Carl Theodor Dreyer, cette conversation rappelle les caractéristiques de son cinéma : plans longs, omniprésence des visages. Le cinéaste y livre, en français, ses réflexions sur son rapport au comédien, l'art du cinéma, ses recherches sur le montage et le mouvement.
Le quotidien et la condition d'une institutrice ayant épousé un cultivateur ; elle s'occupe des bêtes, de la traite, mais aussi de politique et de syndicalisme.
Nadja, une jeune étudiante américaine et yougoslave, vit à la Cité universitaire de Paris, maison de l'Allemagne. On la suit dans ses déambulations dans différents quartiers de la capitale.
Le statut de la femme étudiante a fort changé dans les années 60, la preuve par l'exemple avec Denise Basdevant, une jeune mère poursuivant ses études à la Nouvelle Faculté de Sciences d'Orsay.
Tournée à Copenhague chez Carl Theodor Dreyer, cette conversation rappelle les caractéristiques de son cinéma : plans longs, omniprésence des visages. Le cinéaste y livre, en français, ses réflexions sur son rapport au comédien, l'art du cinéma, ses recherches sur le montage et le mouvement.
Le quotidien et la condition d'une institutrice ayant épousé un cultivateur ; elle s'occupe des bêtes, de la traite, mais aussi de politique et de syndicalisme.
Nadja, une jeune étudiante américaine et yougoslave, vit à la Cité universitaire de Paris, maison de l'Allemagne. On la suit dans ses déambulations dans différents quartiers de la capitale.