Tous les jours, Ismail quitte le camp de réfugié de Shuafat à Jérusalem, pour travailler comme éboueur dans une ville israélienne qui a été construite sur les ruines de son village ancestral. Pour le filmer, David Kashtan fait des allers-retours entre Tel Aviv et Jérusalem. L’amitié qui grandit entre eux leur permet de repenser l’espace qui les sépare.
Réalisateur | David Kashtan |
Acteurs | Jimmy Deniziot, Roxanne Riou |
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Le réalisateur met ici en scène sa recherche d’un rapport politique à la vie et aux actions qui la traversent, cela dans l'impulsion d'une rencontre avec Ismail, balayeur des rues à Albourj. Ismail donne sens à son travail quotidien : "C'est comme si je balayais ma propre terre." Le film interroge le rapport au passé et la géographie du territoire Israël/Palestine qui, au-delà du concret des frontières, implique aussi une dimension mentale et imaginative. David Kashtan provoque les interactions qui lui manquent - il convie d'ailleurs sa mère qui exprime son incompréhension -, et le film devient pour lui ce nouvel espace mental à investir politiquement.
Roxanne Riou et Jimmy Deniziot
Pré-sélectionneurs pour les États généraux du film documentaire - Lussas
Le réalisateur met ici en scène sa recherche d’un rapport politique à la vie et aux actions qui la traversent, cela dans l'impulsion d'une rencontre avec Ismail, balayeur des rues à Albourj. Ismail donne sens à son travail quotidien : "C'est comme si je balayais ma propre terre." Le film interroge le rapport au passé et la géographie du territoire Israël/Palestine qui, au-delà du concret des frontières, implique aussi une dimension mentale et imaginative. David Kashtan provoque les interactions qui lui manquent - il convie d'ailleurs sa mère qui exprime son incompréhension -, et le film devient pour lui ce nouvel espace mental à investir politiquement.
Roxanne Riou et Jimmy Deniziot
Pré-sélectionneurs pour les États généraux du film documentaire - Lussas