Madrid, été 2000 : Terry Gilliam, cinéaste visionnaire, se prépare à tourner _L’homme qui tua Don Quichotte_, une version très personnelle de l’œuvre de Miguel de Cervantès, avec Jean Rochefort, Johnny Depp et Vanessa Paradis dans les rôles principaux. Malgré des conditions de production chaotiques, Gilliam reste très enthousiaste. _Lost in La Mancha_ dévoile les coulisses de cette superproduction inachevée. Pendant plusieurs semaines, Keith Fulton et Louis Pepe ont suivi le cinéaste dans son combat désespéré pour sauver un projet qu'il développait depuis déjà plus de dix ans. Mais sur le tournage, sans relâche, les problèmes s’enchaînent.
Réalisateur | Louis Pepe et Keith Fulton |
Acteurs | Sylvain Bich, Sylvain Bich |
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"Jusqu’où ira la scoumoune ?" Voilà la question que l’on se pose tout au long de ce film tant l’accumulation de poisses auxquelles sont confrontés Gilliam et son équipe semble surréaliste et tant, depuis notre fauteuil de spectateur, ce cauchemar ressemble à une comédie ! S’écartant du traditionnel making-of, les réalisateurs nous livrent ici une mise en abyme de l’histoire de Cervantès, avec un Gilliam en Don Quichotte qui ne cesse de s’illusionner et ses équipes en autant de Sancho Panza qui voient le mur du réel arriver (et donc l’échec) mais qui se conforment à la conception de leur maître. Bref : une réjouissante satire du cinéma mais aussi un hommage à ceux qui essayent de faire de leurs rêves une réalité.
Sylvain Bich
Projectionniste
"Jusqu’où ira la scoumoune ?" Voilà la question que l’on se pose tout au long de ce film tant l’accumulation de poisses auxquelles sont confrontés Gilliam et son équipe semble surréaliste et tant, depuis notre fauteuil de spectateur, ce cauchemar ressemble à une comédie ! S’écartant du traditionnel making-of, les réalisateurs nous livrent ici une mise en abyme de l’histoire de Cervantès, avec un Gilliam en Don Quichotte qui ne cesse de s’illusionner et ses équipes en autant de Sancho Panza qui voient le mur du réel arriver (et donc l’échec) mais qui se conforment à la conception de leur maître. Bref : une réjouissante satire du cinéma mais aussi un hommage à ceux qui essayent de faire de leurs rêves une réalité.
Sylvain Bich
Projectionniste