Après 4 ans de lutte contre leur ancien employeur, la multinationale Unilever, ceux que l'on appelle les Fralib se sont réappropriés leur usine et gèrent collectivement leur coopérative ouvrière : la Scop-ti. Tourné quelques mois après la relance de la production, ce film est une plongée au cœur de la coopérative. Comment chacun vit-il les jours d'après d'une si longue lutte et d'une si belle victoire ? Que peut signifier transformer son travail au sein d'une économie néo-libérale ?
Réalisateurs | Clara Teper, Clara Teper |
Acteurs | Jimmy Deniziot, Roxanne Riou |
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«Ce documentaire nous plonge au centre de la vie d'une entreprise qui vient d'être reprise par ses salarié.e.s : la Scop-ti. Nous plongeons dans les questionnements soulevés par la gestion partagée de cette nouvelle coopérative ouvrière. Les témoignages des hommes et femmes qui se sont relevés les manches pour travailler à la reprise de la production nous montre à quel point ce mode d'organisation invite à bouger, personnellement et collectivement.
Ce que j'ai particulièrement trouvé intéressant, et émouvant, c'est d'observer comment s'entremêle la transformation du modèle économique et la transformation des individus et des collectifs".
Pour l'animation : À mon sens ce documentaire permet de partir d'une des formes de SCOP les plus médiatisés, la reprise par les salariés d'entreprises existantes, et d'en montrer le revers , la face moins médiatisée, à savoir comment on s'organise collectivement, comment on se positionne dans l'économie néo-libérale, comment on maintient nos idéaux face à la réalité économique. Il permet de partir d'une forme relativement connue et d'en montrer toute la complexité, sans angélisme excessif ni vision caricaturale.»
Amélie - Oxalis
«Ce documentaire nous plonge au centre de la vie d'une entreprise qui vient d'être reprise par ses salarié.e.s : la Scop-ti. Nous plongeons dans les questionnements soulevés par la gestion partagée de cette nouvelle coopérative ouvrière. Les témoignages des hommes et femmes qui se sont relevés les manches pour travailler à la reprise de la production nous montre à quel point ce mode d'organisation invite à bouger, personnellement et collectivement.
Ce que j'ai particulièrement trouvé intéressant, et émouvant, c'est d'observer comment s'entremêle la transformation du modèle économique et la transformation des individus et des collectifs".
Pour l'animation : À mon sens ce documentaire permet de partir d'une des formes de SCOP les plus médiatisés, la reprise par les salariés d'entreprises existantes, et d'en montrer le revers , la face moins médiatisée, à savoir comment on s'organise collectivement, comment on se positionne dans l'économie néo-libérale, comment on maintient nos idéaux face à la réalité économique. Il permet de partir d'une forme relativement connue et d'en montrer toute la complexité, sans angélisme excessif ni vision caricaturale.»
Amélie - Oxalis
Demain l'usine – Bande Annonce