Un décès violent bouleverse l’autrice du film au printemps 2019. Faisant appel à des archives VHS, elle nous plonge alors dans le huis-clos familial berlinois de son enfance. Une tentative de purification qui surmonte les limites du temps, du langage et de l’espace pour transformer une blessure profonde en quelque chose de sublime.
Réalisateur | Elisa Gómez Alvarez |
Acteur | Alizée Mandereau |
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Dans ce film, Elisa Gómez Alvarez nous parle des histoires qui ne sont pas racontées, et qui, pour cette raison aussi, imprègnent les vies durablement.
Le cœur du film est composé d'une VHS, objet connu habituellement pour refléter la banalité, le quotidien des familles. En posant son regard sur ces images troublantes, la réalisatrice nous invite à questionner leur pouvoir : ce qu’elles racontent malgré elles, ce qu’elles ne racontent pas. Ici, l'absence du père à l'image, c'est l'omniprésence du regard violent, oppressant.
Par un travail de mise en scène et de montage remarquable, Elisa Gómez Alvarez démêle les fils de son histoire, reprend un peu de pouvoir sur son récit et la suite à y donner.
Alizée Mandereau
Programmatrice
Dans ce film, Elisa Gómez Alvarez nous parle des histoires qui ne sont pas racontées, et qui, pour cette raison aussi, imprègnent les vies durablement.
Le cœur du film est composé d'une VHS, objet connu habituellement pour refléter la banalité, le quotidien des familles. En posant son regard sur ces images troublantes, la réalisatrice nous invite à questionner leur pouvoir : ce qu’elles racontent malgré elles, ce qu’elles ne racontent pas. Ici, l'absence du père à l'image, c'est l'omniprésence du regard violent, oppressant.
Par un travail de mise en scène et de montage remarquable, Elisa Gómez Alvarez démêle les fils de son histoire, reprend un peu de pouvoir sur son récit et la suite à y donner.
Alizée Mandereau
Programmatrice