Assigné à résidence dans son appartement de Téhéran, le réalisateur iranien Jafar Panahi tourne en rond en attendant le verdict d’une justice kafkaïenne. Aidé de son compatriote documentariste Mojtabâ Mirtahmâsb, ils mettent en scène un non-film coincé entre quatre murs, glosant sur l’épée de Damoclès suspendue au-dessus des artistes iraniens contemporains, constamment surveillés par le pouvoir...
Réalisateurs | Jafar Panahi, Mojtabâ Mirtahmâsb |
Acteur | Daniel Deshays |
Partager sur |
Jafar Panahi nous offre une sorte de masterclass bricolée au moyen d’une fiction racontée pour que les spectateurs s’en fassent leurs propres images, un direct TV du tsunami de Fukushima, un documentaire sur la vie d’un varan domestique et un film d’ascenseur sur la survie étudiante vue à travers ses mille bullshit jobs. C’est aussi un direct sur les feux d’artifices du jour de l’an 2011 bannis par l’état. Ce sera le début d’une série de films tournés clandestinement (Pardé, Taxi Téhéran, Trois visages, Aucun ours) et primés par les grands festivals. C’est enfin l’attente d’un verdict qui a livré sa réponse ce 11 juillet 2022 : six années d’emprisonnement dans la sinistre et cruelle prison d’Evin.
Daniel Deshays
Ingénieur du son
Jafar Panahi nous offre une sorte de masterclass bricolée au moyen d’une fiction racontée pour que les spectateurs s’en fassent leurs propres images, un direct TV du tsunami de Fukushima, un documentaire sur la vie d’un varan domestique et un film d’ascenseur sur la survie étudiante vue à travers ses mille bullshit jobs. C’est aussi un direct sur les feux d’artifices du jour de l’an 2011 bannis par l’état. Ce sera le début d’une série de films tournés clandestinement (Pardé, Taxi Téhéran, Trois visages, Aucun ours) et primés par les grands festivals. C’est enfin l’attente d’un verdict qui a livré sa réponse ce 11 juillet 2022 : six années d’emprisonnement dans la sinistre et cruelle prison d’Evin.
Daniel Deshays
Ingénieur du son
Français
Anglais