L’histoire du célèbre solo d’Alain Buffard "Good Boy", qui a marqué l’histoire de la danse et du sida en France dans les années 1990. Juste après l’arrivée des traitements par trithérapie, alors qu’il a arrêté la danse depuis 7 ans, Alain Buffard décide de se rendre auprès d’Anna Halprin, en Californie, pour suivre les stages de danse-thérapie qu’elle a mis en place à destination des malades du cancer et du sida. Là, en pleine nature, sous le regard d’Anna Halprin, Alain Buffard va trouver la force de se reconstruire et de remettre son corps au travail.
Réalisateur | Marie-Hélène Rebois |
Acteur | Alizée Mandereau |
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Dans "Good Boy", Alain Buffard met en scène la reconquête de son corps. Comment retourner vers la vie, la verticalité malgré et surtout avec la maladie. Le déséquilibre est constant, mais parfaitement maîtrisé.
En projetant la captation de la pièce sur des fibres de bois, la réalisatrice met en exergue la manière dont Alain Buffard fait de son corps un matériau brut, au travail. Le moindre geste compte.
Comme le dit Matthieu Doze, qui reprend aujourd’hui le solo mythique, "Good Boy tient dans une valise". Une économie de moyens extrêmement percutante pour comprendre la grande solitude de l’individu mais aussi d’une génération face à la maladie. Marie-Hélène Rebois met au centre de son film différentes générations de danseurs mais aussi des proches d’Alain Buffard, et fait ainsi dialoguer l’intime importance du retour à la danse pour le chorégraphe et la force symbolique de ce solo pour toute une génération marquée par le Sida.
Alizée Mandereau
Chargée de production à Tënk
Dans "Good Boy", Alain Buffard met en scène la reconquête de son corps. Comment retourner vers la vie, la verticalité malgré et surtout avec la maladie. Le déséquilibre est constant, mais parfaitement maîtrisé.
En projetant la captation de la pièce sur des fibres de bois, la réalisatrice met en exergue la manière dont Alain Buffard fait de son corps un matériau brut, au travail. Le moindre geste compte.
Comme le dit Matthieu Doze, qui reprend aujourd’hui le solo mythique, "Good Boy tient dans une valise". Une économie de moyens extrêmement percutante pour comprendre la grande solitude de l’individu mais aussi d’une génération face à la maladie. Marie-Hélène Rebois met au centre de son film différentes générations de danseurs mais aussi des proches d’Alain Buffard, et fait ainsi dialoguer l’intime importance du retour à la danse pour le chorégraphe et la force symbolique de ce solo pour toute une génération marquée par le Sida.
Alizée Mandereau
Chargée de production à Tënk
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