Reou-Takh


Image de couverture Reou-Takh

Reou-Takh est le nom donné à Dakar par les Sénégalais de la campagne. Un Noir-Américain désireux de retrouver ses racines est surpris de trouver un pays occidentalisé et dépersonnalisé.


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Réalisateur

Mahama Johnson Traoré

Acteur

Talitha

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Mahama Johnson Traoré met en scène Alain Christian Plenet qui interprète un jeune noir-américain en voyage initiatique au Sénégal, à la vision d’un continent africain fantasmé. Au cours de ce séjour, il est confronté à l’occidentalisation de Dakar, la misère des populations en périphérie du centre historique et cosmopolite, comme conséquence directe du commerce triangulaire. La visite de l’île de Gorée où se dresse la Maison des esclaves, édifice historique dédié à la conservation de la mémoire de la traite atlantique, est l’occasion d’une reconstitution, séquence centrale du film, qui trace un pont entre passé et présent. La musique, qu’elle soit jazz, rumba ou blues est un élément essentiel du film et donne une unité à l’ensemble de ces tableaux, permettant de lier les gestes documentaire, fictionnel et de cinéma direct du réalisateur. Un film incisif et critique qui lui vaudra d’être interdit à sa sortie au Sénégal en 1972.

 

Annabelle Aventurin
Archiviste et programmatrice

 

 


  • Français

    Français

    45 mn

    Langue : Français
  • Année 1972
  • Pays Sénégal
  • Durée 45
  • Langue Français
  • Résumé court À Dakar, un Noir-Américain désireux de retrouver ses racines est surpris de trouver un pays occidentalisé et dépersonnalisé.
  • Producteur Sunu Film
  • ID_allocine 18230

Mahama Johnson Traoré met en scène Alain Christian Plenet qui interprète un jeune noir-américain en voyage initiatique au Sénégal, à la vision d’un continent africain fantasmé. Au cours de ce séjour, il est confronté à l’occidentalisation de Dakar, la misère des populations en périphérie du centre historique et cosmopolite, comme conséquence directe du commerce triangulaire. La visite de l’île de Gorée où se dresse la Maison des esclaves, édifice historique dédié à la conservation de la mémoire de la traite atlantique, est l’occasion d’une reconstitution, séquence centrale du film, qui trace un pont entre passé et présent. La musique, qu’elle soit jazz, rumba ou blues est un élément essentiel du film et donne une unité à l’ensemble de ces tableaux, permettant de lier les gestes documentaire, fictionnel et de cinéma direct du réalisateur. Un film incisif et critique qui lui vaudra d’être interdit à sa sortie au Sénégal en 1972.

 

Annabelle Aventurin
Archiviste et programmatrice

 

 


  • Français

    Français


    Durée : 45 minutes
    Langue : Français
    45 mn
  • Année 1972
  • Pays Sénégal
  • Durée 45
  • Langue Français
  • Résumé court À Dakar, un Noir-Américain désireux de retrouver ses racines est surpris de trouver un pays occidentalisé et dépersonnalisé.
  • Producteur Sunu Film
  • ID_allocine 18230

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