Pour célébrer son 125e anniversaire, le prestigieux Orchestre Royal du Concertgebouw d’Amsterdam part en tournée à travers le monde. Heddy Honigmann suit les virtuoses à Buenos Aires, Soweto et Saint-Pétersbourg. Elle nous fait partager leur quotidien loin de leurs familles et leur communion avec le public. Elle part également à la rencontre des auditeurs et spectateurs, réunis par la même passion pour la musique.
Réalisateur | Heddy Honigmann |
Acteur | Jean-Marie Barbe |
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Voilà un film symphonique qui ne cherche pas à nous faire aimer la musique classique de manière directe, mais plutôt par le biais de ceux qui l’interprètent. Le casting des personnes qui traversent le film est excellent : si le début du film nous laisse dubitatifs (ils n’ont rien d’exceptionnel, ces musiciens ! des problèmes de quotidien, d’éloignement de la famille pendant la tournée, d'achats de souvenirs…) ils sont justement suffisamment banals pour qu'on s'en sente proche, et qu’on les suive comme des amis... mais des amis "habités".
C'est là qu'intervient la réalisatrice, en nous donnant à voir deux éléments, invisibles et inoubliables : en premier lieu, la collégialité de musiciens, qui fait que, seuls, "ils sont un instrument" et collectivement, un orchestre symphonique.
Et plus subtilement, tous ces musiciens, littéralement, "voient le monde en musique", et nous voyons à notre tour le monde en musique. Il s’en dégage une allégresse très universelle et une évidence : le cinéma est musique !
Jean-Marie Barbe
Producteur, co-fondateur des États généraux du film documentaire de Lussas
Voilà un film symphonique qui ne cherche pas à nous faire aimer la musique classique de manière directe, mais plutôt par le biais de ceux qui l’interprètent. Le casting des personnes qui traversent le film est excellent : si le début du film nous laisse dubitatifs (ils n’ont rien d’exceptionnel, ces musiciens ! des problèmes de quotidien, d’éloignement de la famille pendant la tournée, d'achats de souvenirs…) ils sont justement suffisamment banals pour qu'on s'en sente proche, et qu’on les suive comme des amis... mais des amis "habités".
C'est là qu'intervient la réalisatrice, en nous donnant à voir deux éléments, invisibles et inoubliables : en premier lieu, la collégialité de musiciens, qui fait que, seuls, "ils sont un instrument" et collectivement, un orchestre symphonique.
Et plus subtilement, tous ces musiciens, littéralement, "voient le monde en musique", et nous voyons à notre tour le monde en musique. Il s’en dégage une allégresse très universelle et une évidence : le cinéma est musique !
Jean-Marie Barbe
Producteur, co-fondateur des États généraux du film documentaire de Lussas
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