Vincent Sorrel est cinéaste et chercheur. Ses derniers films concernent le cinéma. Pour l'un, à travers un portrait du cinéaste italien Vittorio de Seta, "Le cinéaste est un athlète" (2010), coréalisé avec Barbara Vey, pour l'autre, "Le nouveau monde" (2017) est un essai sur la construction d'une salle de cinéma. Il finalise actuellement la réalisation d'un nouveau film, "Le cinéaste est un cosmonaute" sur Artavazd Pelechian. Son travail d'enseignant et de chercheur concerne les pratiques du cinéma dans une articulation entre esthétique et technique envisagée à partir de la question de l'outil. Cette approche du cinéma depuis les appareils nourrit une réflexion sur l’écriture et la réalisation du cinéma documentaire. Responsable pédagogique du master Documentaire de création (Université Grenoble-Alpes - Ardèche Images) entre 2008 et 2016, il est l'auteur avec Jean-Louis Comolli d'un ouvrage intitulé "Cinéma, mode d'emploi. De l’argentique au numérique" (Verdier, 2015). Il collabore actuellement à un projet FNS dirigé à l'Université de Lausanne par Benoît Turquety, "Histoire des appareils et archéologie des pratiques. Bolex et le cinéma amateur suisse".
Le cinéaste est un athlète, conversations avec Vittorio De Seta
Avec ce portrait d’un cinéaste à part, il s’agit de saisir l’essentiel du rapport de Vittorio de Seta à ceux qu’il a filmés, les plus humbles, qu’il a portés avec élégance et en couleurs dès les années 1950, sur le grand écran du Cinémascope. C’est chez lui, en Calabre, que le cinéaste se remémore ses épopées de cinéma. À partir du son de ses premiers films, des courts métrages documentaires, ...
Dans un alpage itinérant de Savoie (France), se déroule un cycle de vie dans son aspect premier, répété sans cesse pour aller toujours un peu plus haut, sachant que le rien devient tout et que l'on peut imaginer Sysiphe heureux. Toujours en marche, la lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d'homme. Hé ! Quoi ! Par des voies si étroites ?
Le cinéaste est un athlète, conversations avec Vittorio De Seta
Avec ce portrait d’un cinéaste à part, il s’agit de saisir l’essentiel du rapport de Vittorio de Seta à ceux qu’il a filmés, les plus humbles, qu’il a portés avec élégance et en couleurs dès les années 1950, sur le grand écran du Cinémascope. C’est chez lui, en Calabre, que le cinéaste se remémore ses épopées de cinéma. À partir du son de ses premiers films, des courts métrages documentaires, ...
Dans un alpage itinérant de Savoie (France), se déroule un cycle de vie dans son aspect premier, répété sans cesse pour aller toujours un peu plus haut, sachant que le rien devient tout et que l'on peut imaginer Sysiphe heureux. Toujours en marche, la lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d'homme. Hé ! Quoi ! Par des voies si étroites ?