Thomas Jenkoe vit et travaille à Lille. Après des études de Lettres, il obtient une Maîtrise de Littérature comparée puis complète son cursus avec un Master de Cinéma à l’Université de Paris Panthéon-Sorbonne. Il débute en tant que scénariste sur Passemerveille, essai documentaire réalisé par Guillaume Massart. Le film est sélectionné en festivals et diffusé à la télévision. En 2010, il s’associe à Guillaume Massart et à Charles Habib-Drouot pour fonder Triptyque Films, société de production spécialisée en documentaires et essais exigeants. À travers la question du Mal et de la frontière (mentale, morale et sociale), Thomas Jenkoe interroge le divorce entre l’Homme et le monde au sein de nos sociétés modernes. Souvenirs de la Géhenne, a notamment remporté le prix de la compétition française à Cinéma du Réel. Il coréalise The Last Hillbilly avec Diane Sara Bouzgarrou.
Dans les monts des Appalaches, les gens se sentent moins Américains qu’Appalachiens. Ces habitants de l’Amérique blanche rurale ont vécu le déclin économique de leur région. Aux États-Unis, on les appelle les "hillbillies" : bouseux, péquenauds des collines. _The Last Hillbilly_ est le portrait d’une famille à travers les mots de l’un d’entre eux, témoin d’un monde en train de disparaître.
En 2002, J.D. charge sa carabine et parcourt Grande-Synthe à la recherche de personnes issues de l’immigration. Sa folle odyssée se termine par le meurtre d’un Maghrébin de 17 ans. Plus de dix ans après les faits, le film suit la route empruntée par le tueur et confronte la ville et ses métamorphoses à la voix de J.D., reconstituée d’après le dossier d’instruction de son procès.
Dans les monts des Appalaches, les gens se sentent moins Américains qu’Appalachiens. Ces habitants de l’Amérique blanche rurale ont vécu le déclin économique de leur région. Aux États-Unis, on les appelle les "hillbillies" : bouseux, péquenauds des collines. _The Last Hillbilly_ est le portrait d’une famille à travers les mots de l’un d’entre eux, témoin d’un monde en train de disparaître.
En 2002, J.D. charge sa carabine et parcourt Grande-Synthe à la recherche de personnes issues de l’immigration. Sa folle odyssée se termine par le meurtre d’un Maghrébin de 17 ans. Plus de dix ans après les faits, le film suit la route empruntée par le tueur et confronte la ville et ses métamorphoses à la voix de J.D., reconstituée d’après le dossier d’instruction de son procès.