Après avoir été comédienne, Souad Mouchrik s'oriente vers le cinéma documentaire et suit les Ateliers Cinéma dans le cadre de sa Licence, puis de l'Atelier Réalisation de Master, au cours duquel elle réalise son second court métrage documentaire, "Haram". Elle y questionne ce qui continue à inspirer son travail aujourd’hui : l’appartenance à une double culture, les tensions, les risques d’enfermement mais aussi les désirs d'ouverture qu’elle implique.
Le film est pour la réalisatrice, née en France de parents marocains, l'occasion de revenir sur la double culture qui la constitue. Engageant un dialogue avec une femme marocaine restée fidèle à la tradition, elle interroge la réalité ambivalente qui a conditionné son éducation, partagée entre émancipation et interdits.
Le film est pour la réalisatrice, née en France de parents marocains, l'occasion de revenir sur la double culture qui la constitue. Engageant un dialogue avec une femme marocaine restée fidèle à la tradition, elle interroge la réalité ambivalente qui a conditionné son éducation, partagée entre émancipation et interdits.