Formé à l’École Louis Lumière à Paris, Philippe Lavalette signe d’abord la photographie de films expérimentaux, notamment "l’Ange" (Patrick Bokanowski, 1982). Il s’intéresse ensuite aux films scientifiques et devient cinéaste associé au CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique, France). À son arrivée au Québec, Lavalette met sa caméra au service de documentaires intimistes qui feront date, parmi lesquels on peut souligner "Les Enfants de Refus Global" ou "De mémoire de chats-Les Ruelles" de Manon Barbeau. Lavalette associe toujours cette approche documentaire avec la fiction, signant ainsi plusieurs longs-métrages et téléfilms. Il collabore aussi à la photographie de séries dramatiques en France comme à l'étranger.
Des chercheurs tentent, pour mieux appréhender une œuvre d'art, de comprendre le regard. Ils matérialisent et enregistrent les mouvements de l’œil. Plusieurs sujets sont soumis à cette expérience face à des œuvres de Monet, Klee, Watteau, Mondrian ou Vasarely. Serait-il possible d'expliquer la beauté plastique par les mouvements des yeux qu'elle suscite ?
Des chercheurs tentent, pour mieux appréhender une œuvre d'art, de comprendre le regard. Ils matérialisent et enregistrent les mouvements de l’œil. Plusieurs sujets sont soumis à cette expérience face à des œuvres de Monet, Klee, Watteau, Mondrian ou Vasarely. Serait-il possible d'expliquer la beauté plastique par les mouvements des yeux qu'elle suscite ?