Jumana Manna est une artiste palestinienne qui travaille principalement le film et la sculpture. Son œuvre interroge la façon dont le pouvoir s’articule dans les relations, se centrant souvent sur le corps et la matérialité, en relation avec les récits de construction de nations et les histoires d’espaces. Elle est diplômée de l’Académie nationale des beaux-arts d’Oslo et du California Institute of the Arts. Elle a participé à de nombreux festivals et expositions, dont le BAFICI, IFFR Rotterdam, Tate Modern, Marrakech Biennale 6, et le pavillon des pays nordiques de la 57e Biennale de Venise. Jumana Manna est lauréate du A.M. Qattan Foundation’s Young Palestinian Artist Award (2012) et de l’Ars Viva Prize for Visual Arts (2017). Elle a été nommée au Preis der Nationalgalerie für junge Kunst à Berlin. Elle a notamment réalisé Wild Relatives (2017) et Foragers (2022).
Sur le plateau du Golan, en Galilée et à Jérusalem, ramasser du za’atar (thym) et l’akkoub (artichaut) est passible de lourdes amendes. Entremêlant documentaire et fiction, les mains dans le parfum du za’atar ou les piquants de l’akkoub, _Foragers_ décrit l’impact dramatique des lois israéliennes de protection de la nature sur les traditions immémoriales de la culture palestinienne et sur les c...
Basé à Alep, le Centre international de recherche agricole dans les zones arides (ICARDA) a perdu sa collection de graines lors de la guerre et a été contraint à l’exil. Réimplanté au Liban, il a puisé dans les stocks sauvegardés à la Réserve mondiale de semences de l'archipel norvégien du Svalbard pour dupliquer ses graines – un transfert qui engage le quotidien d'acteurs géographiquement et p...
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