Après des études de cinéma à Paris 8 et un passage à l'EHESS en Arts et langage, Jonathan Le Fourn coréalise deux longs métrages documentaires : le premier tourné à Calais (L’Exil et le Royaume, 2008), le second au Brésil dans l’État du Parà (Sauvagerie, 2017), tous deux sélectionnés dans de nombreux festivals (Mostra de Venise, FID Marseille, Entrevues de Belfort, Jihlava IDFF, Cinéma du réel Paris, États généraux de Lussas, Les Écrans documentaires, etc.). Il développe actuellement plusieurs films et intervient en milieu scolaire dans le cadre d’atelier de cinéma. Il vit et travaille à Marseille depuis 2013.
Un ancien cheminot qui s’enfonce dans l’Histoire, une institutrice qui traverse la nuit à la recherche de la police, des afghans qui se cachent, deux chômeurs quantiques, un hébergeur moustachu et des femmes érythréennes… Ils et elles se croisent, s’entraident ou s’évitent ; leurs trajectoires dessinent un espace où le quotidien est à réinventer dans un monde qui ne cesse de s’effondrer. Il est...
Au Brésil, dans les environs de Bélem, aux portes de l'Amazonie, un cheminement entre les restes d'une nature fantasmée et une société où règne la violence. Le Para, État du nord du Brésil, dessine la frontière intérieure d'une Amazonie en cours de domestication. L'idéal du jardin s'impose mais les meurtres sont quotidiens et les enquêtes illusoires. La puissance sauvage affleure partout.
Un ancien cheminot qui s’enfonce dans l’Histoire, une institutrice qui traverse la nuit à la recherche de la police, des afghans qui se cachent, deux chômeurs quantiques, un hébergeur moustachu et des femmes érythréennes… Ils et elles se croisent, s’entraident ou s’évitent ; leurs trajectoires dessinent un espace où le quotidien est à réinventer dans un monde qui ne cesse de s’effondrer. Il est...
Au Brésil, dans les environs de Bélem, aux portes de l'Amazonie, un cheminement entre les restes d'une nature fantasmée et une société où règne la violence. Le Para, État du nord du Brésil, dessine la frontière intérieure d'une Amazonie en cours de domestication. L'idéal du jardin s'impose mais les meurtres sont quotidiens et les enquêtes illusoires. La puissance sauvage affleure partout.