Hayoun Kwon est née à Séoul (Corée du Sud) en 1981. Après des études à l'École des Beaux-Arts de Nantes, elle est diplômée du Fresnoy – Studio national des Arts contemporains en 2011. À travers ses vidéos, photos et installations s'articule une réflexion autour de la mémoire individuelle et collective. Elle exploite les nouvelles technologies afin d'interroger les limites entre le rêve et la réalité, le témoignage fidèle et l'interprétation fantasmée, la transmission et l'oubli. Son travail a été montré à Cinéma du réel, à Doc Fortnight (MoMA, New-York), au Festival international du court métrage d'Oberhausen ou encore au Palais de Tokyo et au Grand Palais.
Chez les Nigérians, être « jumeaux » peut signifier une bénédiction ou une malédiction. Oscar et son frère devaient être sacrifiés lors d’une fête rituelle mais Oscar est parvenu à s’enfuir. Exilé en France, il demande l’asile mais sa demande est rejetée par manque de preuves…
Chez les Nigérians, être « jumeaux » peut signifier une bénédiction ou une malédiction. Oscar et son frère devaient être sacrifiés lors d’une fête rituelle mais Oscar est parvenu à s’enfuir. Exilé en France, il demande l’asile mais sa demande est rejetée par manque de preuves…
Librement inspirée par le village de propagande nord-coréen, Kijong-dong, Hayoun Kwon révèle un "lieu-décor" et nous plonge dans la fiction, accomplissant son voyage par procuration. Le film témoigne de ce village fantôme dans son véritable état : un mécanisme de fiction. La réalité d’une frontière face à sa mise en scène... Un village inatteignable autrement que par l’imagination.
Chez les Nigérians, être « jumeaux » peut signifier une bénédiction ou une malédiction. Oscar et son frère devaient être sacrifiés lors d’une fête rituelle mais Oscar est parvenu à s’enfuir. Exilé en France, il demande l’asile mais sa demande est rejetée par manque de preuves…
Chez les Nigérians, être « jumeaux » peut signifier une bénédiction ou une malédiction. Oscar et son frère devaient être sacrifiés lors d’une fête rituelle mais Oscar est parvenu à s’enfuir. Exilé en France, il demande l’asile mais sa demande est rejetée par manque de preuves…
Librement inspirée par le village de propagande nord-coréen, Kijong-dong, Hayoun Kwon révèle un "lieu-décor" et nous plonge dans la fiction, accomplissant son voyage par procuration. Le film témoigne de ce village fantôme dans son véritable état : un mécanisme de fiction. La réalité d’une frontière face à sa mise en scène... Un village inatteignable autrement que par l’imagination.