Né en 1969, Giovanni Donfrancesco travaille depuis plusieurs années dans l’audiovisuel et le cinéma en tant qu’auteur, réalisateur et producteur. Il a également exercé les fonctions de chef opérateur et monteur. Il est l’auteur de deux romans et d’un livre de photographies. Parmi ses documentaires figurent Mussolini’s Dirty War (2008), Cinema e metropoli: Mexico City (2003), Les Authentiques Fausses Têtes de Modigliani (2011), nominé au Globo d’Or 2012 dans la catégorie Meilleur Documentaire ou encore The Stone River (2013). Il est depuis 2005 à la tête de la société de production Altara Films.
Quelque chose qui vit et brûle
Durée : 1h15Partout dans l’Europe occupée des résistants condamnés à mort ont écrit à leurs proches la quintessence de leur "vie à en mourir". Ni supplication, ni cri, ni fulmination. Au contraire, une lumineuse invitation, portée par une singulière polyphonie de voix et de musiques, à raisonner sur le sens à donner à la vie, à l’amour, à l’amour de la vie.
En 1935, le président F. D. Roosevelt décida d'envoyer des écrivains dans chaque État américain, afin de dresser un portrait de l'Amérique durant la Grande Dépression. Certains se rendirent dans la ville de Barre, dans le Vermont, et recueillirent les témoignages de ses habitants. La plupart étaient des travailleurs de la pierre venus d’Europe, attirés par l’ouverture des plus grandes carrières...
Quelque chose qui vit et brûle
Durée : 1h15Partout dans l’Europe occupée des résistants condamnés à mort ont écrit à leurs proches la quintessence de leur "vie à en mourir". Ni supplication, ni cri, ni fulmination. Au contraire, une lumineuse invitation, portée par une singulière polyphonie de voix et de musiques, à raisonner sur le sens à donner à la vie, à l’amour, à l’amour de la vie.
En 1935, le président F. D. Roosevelt décida d'envoyer des écrivains dans chaque État américain, afin de dresser un portrait de l'Amérique durant la Grande Dépression. Certains se rendirent dans la ville de Barre, dans le Vermont, et recueillirent les témoignages de ses habitants. La plupart étaient des travailleurs de la pierre venus d’Europe, attirés par l’ouverture des plus grandes carrières...