Christophe Loizillon est un réalisateur français né en 1953. Entre 1985 et 1997, il réalise cinq films pour approcher le travail d'artistes contemporains : Georges Rousse, Roman Opałka, François Morellet, Eugène Leroy, Felice Varini Depuis 1996, il réalise des essais cinématographiques autour de l'homme et son corps – Les Mains (1996), Les Pieds (1999), Les Visages (2003), Corpus/Corpus (2007), Les Sexes (2017) – et de son environnement notamment avec Homo/Animal (2011), Homo/Végétal (2013), Homo/Minéral (2020). Il explore aussi le plan séquence à travers la fiction comme dans Petit Matin (2013) avec Mathieu Amalric. Il a également réalisé deux longs métrages de fiction Le Silence de Rak avec Elina Lowensöhn et François Cluzet (1996) et Ma caméra et moi avec Julie Gayet et Zinedine Soualem (2001).
Un menhir, un galet, une pompe à essence, un piercing, une feuille d'or, une marche en granit... l'Homme. Ce film tente de rapprocher le temps minéral du temps humain.
Georges Rousse est né en 1948 à Nice. D'abord photographe pour l'industrie et la publicité, il découvre tardivement la peinture. Il déambule dans des lieux désaffectés voués à l'abandon ou à la destruction (Bercy, entrepôts à New York) et peint ensuite, pendant plusieurs jours, une fresque qu'il photographie, puis abandonne le lieu qui sera bientôt détruit.
À quoi pensent une vache, un cochon, un ours, un chien et deux escargots quand ils sont face à l’Homme ?
Il y a vingt et un ans, Roman Opalka, peintre d'origine polonaise, obsédé par l'idée de visualiser le temps, décidait de peindre exclusivement la suite des nombres zéro à l'infini sur des toiles dont il éclaircit régulièrement le fond... Et cela pour toute sa vie. Aujourd'hui est un jour spécial, il va inscrire le nombre quatre millions.
Un menhir, un galet, une pompe à essence, un piercing, une feuille d'or, une marche en granit... l'Homme. Ce film tente de rapprocher le temps minéral du temps humain.
Georges Rousse est né en 1948 à Nice. D'abord photographe pour l'industrie et la publicité, il découvre tardivement la peinture. Il déambule dans des lieux désaffectés voués à l'abandon ou à la destruction (Bercy, entrepôts à New York) et peint ensuite, pendant plusieurs jours, une fresque qu'il photographie, puis abandonne le lieu qui sera bientôt détruit.
À quoi pensent une vache, un cochon, un ours, un chien et deux escargots quand ils sont face à l’Homme ?
Il y a vingt et un ans, Roman Opalka, peintre d'origine polonaise, obsédé par l'idée de visualiser le temps, décidait de peindre exclusivement la suite des nombres zéro à l'infini sur des toiles dont il éclaircit régulièrement le fond... Et cela pour toute sa vie. Aujourd'hui est un jour spécial, il va inscrire le nombre quatre millions.