Diplômée de l'école nationale supérieure d'art de Cergy-Pontoise et intéressée par plusieurs formes de narration, Béatrice Plumet alterne fictions, essais vidéo et documentaires. L’écoulement du temps est au cœur de son travail que ce soit dans ses films, "Capture Mode" (2010), "Courir" (2012) aussi bien que dans son travail d’installation vidéo à l’origine d' "Immobiles". "Immobiles" a remporté le Grand prix de Doc en Courts. En 2016, elle réalise "Images parfaites", bouclant ainsi sa recherche sur l’image et le portrait.
Partant du désir de faire une installation video, la réalisatrice a demandé à des gens qu'elle ne connaissait pas de poser totalement immobiles et de fixer l'objectif. Des premiers clichés d'êtres humains au dispositif cinématographique, le film décline l'idée du portrait, à la fois arrêt du temps, représentation du vivant, mais aussi expérience de la mort.
Partant du désir de faire une installation video, la réalisatrice a demandé à des gens qu'elle ne connaissait pas de poser totalement immobiles et de fixer l'objectif. Des premiers clichés d'êtres humains au dispositif cinématographique, le film décline l'idée du portrait, à la fois arrêt du temps, représentation du vivant, mais aussi expérience de la mort.
Partant du désir de faire une installation video, la réalisatrice a demandé à des gens qu'elle ne connaissait pas de poser totalement immobiles et de fixer l'objectif. Des premiers clichés d'êtres humains au dispositif cinématographique, le film décline l'idée du portrait, à la fois arrêt du temps, représentation du vivant, mais aussi expérience de la mort.
Partant du désir de faire une installation video, la réalisatrice a demandé à des gens qu'elle ne connaissait pas de poser totalement immobiles et de fixer l'objectif. Des premiers clichés d'êtres humains au dispositif cinématographique, le film décline l'idée du portrait, à la fois arrêt du temps, représentation du vivant, mais aussi expérience de la mort.