Née en région parisienne, en 1981, Alexe Liebert vit et travaille à Paris. Après des études théoriques de cinéma à l’Université Panthéon-Sorbonne, elle réalise plusieurs courts métrages de fiction et des œuvres expérimentales. Travaillant régulièrement dans le milieu de la photographie, elle est un membre actif de l’association Diapéro, et réalise des diaporamas sonores pour Polka Magazine, (avec des photographes tels que Salgado, Richard Dumas...), ou directement en collaboration avec les photographes. Elle réalise également des mini-séries humoristiques sous la forme d’auto-filmage, telles que Arlala, websérie décalée sur les Rencontres de la Photographie d’Arles. Après Scars of Cambodia (9 prix, 20 sélections à l'international), elle réalise des courts documentaires de création, diffusés sur France 2. Son dernier film, Sinjar, naissance des fantômes se confronte aux sujets de la résilience et de la mémoire dans la communauté Yézidi, au Kurdistan irakien.
Sinjar, naissance des fantômes
_Sinjar, naissance des fantômes"_est un conte documentaire qui interroge la condition présente des Yézidis de Sinjar, victimes de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité lors de l’invasion de l’Irak par le groupe État islamique. Il questionne le temps suspendu du traumatisme et de l’exil, où des décombres doit naître la résilience ou l’abandon, sur la crête incertaine d’une montagne qui...
Tut est un pêcheur de 52 ans vivant à Kampot. Malgré la barrière de la langue, il a raconté, pour la première fois et sans mots, son passé sous les Khmers Rouges, à une photographe et un réalisateur, mimant les tortures subies en prison l'année de ses 15 ans.
Sinjar, naissance des fantômes
_Sinjar, naissance des fantômes"_est un conte documentaire qui interroge la condition présente des Yézidis de Sinjar, victimes de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité lors de l’invasion de l’Irak par le groupe État islamique. Il questionne le temps suspendu du traumatisme et de l’exil, où des décombres doit naître la résilience ou l’abandon, sur la crête incertaine d’une montagne qui...
Tut est un pêcheur de 52 ans vivant à Kampot. Malgré la barrière de la langue, il a raconté, pour la première fois et sans mots, son passé sous les Khmers Rouges, à une photographe et un réalisateur, mimant les tortures subies en prison l'année de ses 15 ans.