Afsaneh Salari réalise des documentaires depuis dix ans. Une manière de regarder la réalité dans toute sa complexité, pour proposer des récits façonnés par leurs acteurs mêmes, principalement dans le Sud global, d'où elle vient. Elle est à la fois réalisatrice, monteuse, productrice et consultante créative pour des documentaires en Iran. Productrice et fondatrice de la société Docmaniacs à Paris et co-fondatrice du collectif cinématographique féminin Docmaniacs à Téhéran, elle réalise et produit avec ses collègues des films en provenance d'Iran et d'Afghanistan. Ses films ont été projetés dans des festivals tels que IDFA, Visions du Réel, CPH Dox, Sheffield, Santa Barbara et DMZ, et ont reçu des récompenses internationales. Elle collabore également avec les Ateliers Varan en tant que coach de montage. Son dernier film, Great Are the Eyes of a Dead Father (Grands sont les yeux d’un père mort), a été produit en collaboration avec la Fondation Wim Wenders et sous sa supervision dans le cadre du projet collectif A Sense of Place.
En 1982, au plus fort de l'invasion de l'Afghanistan par l'URSS, plus d'un million et demi d'habitant·es sont poussé·es à l'exil en Iran. C'est là qu'est né Taghi, qui souhaite désormais fuir une société faisant subir à son peuple une discrimination quotidienne. Il décide ainsi de partir vivre dans le pays de ses parents, où des difficultés imprévues l'attendent.
En 1982, au plus fort de l'invasion de l'Afghanistan par l'URSS, plus d'un million et demi d'habitant·es sont poussé·es à l'exil en Iran. C'est là qu'est né Taghi, qui souhaite désormais fuir une société faisant subir à son peuple une discrimination quotidienne. Il décide ainsi de partir vivre dans le pays de ses parents, où des difficultés imprévues l'attendent.