"Depuis ma sortie du lycée il y a cinq ans, je filme au quotidien mon petit groupe de copines. Devant ma caméra, les filles racontent spontanément leurs amours, la vie sexuelle, mais aussi la famille, les études et l’entrée pas à pas dans le monde des adultes. Avec sa part d’inconnu et d’incertitude. Ce film évoque ma jeunesse à Argenteuil. Et comment nous grandissons ensemble, toujours soudées."
Réalisateur | Laïs Decaster |
Acteur | Jimmy Deniziot |
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Le film est bâti par grands blocs de paroles, des incursions vives, et libres, dans la vie de jeunes femmes traversées de sentiments mêlés qui sont autant de présences au monde.
Au 1er tiers, Laïs Decaster nous dit : "J’essaye de mieux tenir ma camera […] Avec elles, je sais que je peux être moi-même, je n’ai aucune honte. Et quand on n’a pas de honte, on a peur de rien. Ou en tout cas on a moins peur. On a moins peur d’échouer, on a moins peur d’être mal aimée. On a moins peur de faire un film."
On voit la belle force qu’octroie l’amitié.
On assiste à la formation d’une cinéaste.
À la fin, malgré la joie de la danse et de la musique, il y a quelque chose d’à la fois douloureux et généreux dans le mouvement de la caméra : pour capturer le cours de la fête, Laïs Decaster doit quitter ses amies. Après 5 ans d'images, un arrachement et une restitution, pour clore cette traversée des sentiments.
Jimmy Deniziot
Pré-sélectionneur pour les États généraux du film documentaire - Lussas
Le film est bâti par grands blocs de paroles, des incursions vives, et libres, dans la vie de jeunes femmes traversées de sentiments mêlés qui sont autant de présences au monde.
Au 1er tiers, Laïs Decaster nous dit : "J’essaye de mieux tenir ma camera […] Avec elles, je sais que je peux être moi-même, je n’ai aucune honte. Et quand on n’a pas de honte, on a peur de rien. Ou en tout cas on a moins peur. On a moins peur d’échouer, on a moins peur d’être mal aimée. On a moins peur de faire un film."
On voit la belle force qu’octroie l’amitié.
On assiste à la formation d’une cinéaste.
À la fin, malgré la joie de la danse et de la musique, il y a quelque chose d’à la fois douloureux et généreux dans le mouvement de la caméra : pour capturer le cours de la fête, Laïs Decaster doit quitter ses amies. Après 5 ans d'images, un arrachement et une restitution, pour clore cette traversée des sentiments.
Jimmy Deniziot
Pré-sélectionneur pour les États généraux du film documentaire - Lussas
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