Un portrait intime de Basia, une octogénaire énergique. Le film l’observe en tant que grand-mère, mère, sœur et actrice. Dans des scènes simples de la vie quotidienne, l’humour croise la nostalgie alors que les thèmes essentiels de l’amour, le vieillissement et la mort sont abordés de manière inattendue.
Réalisateur | Mateusz Pietrak |
Acteur | l'équipe éditoriale de Tënk |
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Basia est seule mais elle est entourée. Elle est angoissée mais pleine d'énergie. Elle est grave mais drôle. C'est sûrement cela, une vraie rencontre : accéder aux paradoxes des êtres humains. Le réalisateur filme Basia dans son intimité, mais avec une grande pudeur. Il est tout près d'elle mais capte sa solitude. Il nous la montre bavarde mais aussi silencieuse. Ces nuances, cette délicatesse, cette capacité de filmer à distance (derrière une porte, un rideau) sans impudeur sont remarquables. C'est que la confiance est là.
Le montage du film en trois parties – Three Short Stories – permet cela, aussi : progresser dans la rencontre, entrer dans la famille, voir la tendresse, les peurs, la mort qui peuple beaucoup de choses, pour aboutir à la poésie d'un monologue, d'une représentation, et du risque face au public.
L'art du portrait est délicat, et Mateuzs Pietrak parvient à nous faire rencontrer Basia à sa manière, fine et intime.
L'équipe éditoriale de Tënk
Basia est seule mais elle est entourée. Elle est angoissée mais pleine d'énergie. Elle est grave mais drôle. C'est sûrement cela, une vraie rencontre : accéder aux paradoxes des êtres humains. Le réalisateur filme Basia dans son intimité, mais avec une grande pudeur. Il est tout près d'elle mais capte sa solitude. Il nous la montre bavarde mais aussi silencieuse. Ces nuances, cette délicatesse, cette capacité de filmer à distance (derrière une porte, un rideau) sans impudeur sont remarquables. C'est que la confiance est là.
Le montage du film en trois parties – Three Short Stories – permet cela, aussi : progresser dans la rencontre, entrer dans la famille, voir la tendresse, les peurs, la mort qui peuple beaucoup de choses, pour aboutir à la poésie d'un monologue, d'une représentation, et du risque face au public.
L'art du portrait est délicat, et Mateuzs Pietrak parvient à nous faire rencontrer Basia à sa manière, fine et intime.
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