Il existe dans le ciel un monde fait d’êtres légendaires : des déesses, que l’on aperçoit d'ici-bas sous forme de planètes. Ces femmes, ce sont mes sœurs, mes nièces, ma mère, et ce film raconte l’histoire de nos ventres, des douleurs aux plaisirs.
Réalisateur | Ève Le Fessant Coussonneau |
Acteur | Alizée Mandereau |
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Parfois il est trop difficile d'exprimer sa peine, et pourtant on connait l'importance de poser des mots. Utiliser la métonymie, parler des ventres pour parler des femmes, comportait un risque certain d’essentialisme. Le récit pluriel permet de contourner cet écueil, et le ventre devient le point de départ, le symbole de l'assignation avec de laquelle on compose.
Eve propose un subterfuge : contourner le récit à la première personne, convoquer des figures mythiques. Ce faisant, elle permet à la parole d'advenir et nous rappelle que les histoires nous aident à nous construire, voire à nous reconstruire.
Alizée Mandereau
Programmatrice
Parfois il est trop difficile d'exprimer sa peine, et pourtant on connait l'importance de poser des mots. Utiliser la métonymie, parler des ventres pour parler des femmes, comportait un risque certain d’essentialisme. Le récit pluriel permet de contourner cet écueil, et le ventre devient le point de départ, le symbole de l'assignation avec de laquelle on compose.
Eve propose un subterfuge : contourner le récit à la première personne, convoquer des figures mythiques. Ce faisant, elle permet à la parole d'advenir et nous rappelle que les histoires nous aident à nous construire, voire à nous reconstruire.
Alizée Mandereau
Programmatrice
Français
Anglais