Le printemps a sonné depuis quelque temps. Dans les rues de Montréal, les petites filles en célèbrent la venue à leur façon. Elles sortent « bolos », cordes à danser, élastiques, ballons et s'ébattent au son de ces comptines dont seules elles sont capables : fraîcheur, spontanéité, naïveté, joies et peines, tout est dans ces petites chansons.
Réalisateur | Manon Barbeau |
Acteur | Jérémie Jorrand |
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Rond, rond, macaron, ma p'tite sœur est dans maison. Fais ceci, fais cela, apitchou !
Comptines est un retour en enfance : on y retrouve la virtuosité des jeux de jambes à l'élastique et des jeux de mains rythmés. On y traîne entre amies jusqu'au soir dans le rue printanière (et c'est bientôt l'heure de rentrer pour le repas).
Mais c'est aussi un témoignage qui n'a pas d'âge. Cinquante ans après, la pomme de reinette est toujours dans les bouches, et on ne sait pas d'où elle vient. Certaines de ces micro-chansons sont des tubes éternels. Qu'importe qu'on n'en comprenne pas le sens : elles accompagnent les générations, se transforment, s'altèrent au gré des pays et des prononciations. D'autres naissent, on ne sait comment, dans les rues et les cours d'école. Elles n'ont pas d'auteur, mais leurs auteurs sont des génies de la composition et de l'écriture. Sinon, pourquoi « apitchou » ?
Jérémie Jorrand
Responsable de l'éditorialisation de Tënk
Rond, rond, macaron, ma p'tite sœur est dans maison. Fais ceci, fais cela, apitchou !
Comptines est un retour en enfance : on y retrouve la virtuosité des jeux de jambes à l'élastique et des jeux de mains rythmés. On y traîne entre amies jusqu'au soir dans le rue printanière (et c'est bientôt l'heure de rentrer pour le repas).
Mais c'est aussi un témoignage qui n'a pas d'âge. Cinquante ans après, la pomme de reinette est toujours dans les bouches, et on ne sait pas d'où elle vient. Certaines de ces micro-chansons sont des tubes éternels. Qu'importe qu'on n'en comprenne pas le sens : elles accompagnent les générations, se transforment, s'altèrent au gré des pays et des prononciations. D'autres naissent, on ne sait comment, dans les rues et les cours d'école. Elles n'ont pas d'auteur, mais leurs auteurs sont des génies de la composition et de l'écriture. Sinon, pourquoi « apitchou » ?
Jérémie Jorrand
Responsable de l'éditorialisation de Tënk
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