En hiver, sur une plage de Beyrouth couverte de détritus crachés par la mer, Lili et Michel se rencontrent, ou peut-être se retrouvent-ils ... Ils sont en quête d’un souvenir incertain : celui d’un acte terroriste, d’une explosion et de la disparition d’une enfant. La voix grave d’un narrateur japonais complique cette mémoire avec l’évocation de son propre passé et de ses 27 années engagé aux côtés des Palestiniens en tant que membre d’un groupuscule clandestin, l’Armée Rouge Japonaise. le narrateur s’avère être le scénariste légendaire de la nouvelle vague japonaise, Masao Adachi.
Réalisateur | Éric Baudelaire |
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Eric Baudelaire poursuit le travail amorcé dans son précédent film L’Anabase… (2011) avec le cinéaste japonais d’avant-garde Masao Adachi. Mais ici, le cinéaste nippon suggérera seulement quelques esquisses d’un scénario inspiré de ses années au Liban, sur lequel Baudelaire devra composer, chercher, explorer la mémoire de la guerre civile libanaise et de déchirures amoureuses réminiscentes.
Le festival de Locarno propose ici un grand film d’un “Cinéaste du présent”, une oeuvre à la beauté mélancolique, qui tente une archéologie de la mémoire.
Aurélien Marsais
Programmateur, producteur
Eric Baudelaire poursuit le travail amorcé dans son précédent film L’Anabase… (2011) avec le cinéaste japonais d’avant-garde Masao Adachi. Mais ici, le cinéaste nippon suggérera seulement quelques esquisses d’un scénario inspiré de ses années au Liban, sur lequel Baudelaire devra composer, chercher, explorer la mémoire de la guerre civile libanaise et de déchirures amoureuses réminiscentes.
Le festival de Locarno propose ici un grand film d’un “Cinéaste du présent”, une oeuvre à la beauté mélancolique, qui tente une archéologie de la mémoire.
Aurélien Marsais
Programmateur, producteur