Ce matin-là, les habitants d’une ville découvrent que des plantes, des fleurs et des arbres inconnus ont soudainement fait irruption dans les rues. Peu à peu, des évènements étranges et mystérieux ont lieu alors que Camelia et Nahla enquêtent sur les origines de ces curieuses et nouvelles créatures.
Réalisateur | Nour Ouayda |
Acteur | Charlène Dinhut |
Partager sur |
Nour Ouayda filme les plantes dans Beyrouth. Elle les filme en 16 mm et en 8 mm, leur donnant, sous le soleil, des couleurs et des matières splendides et un air de se moquer du temps qui passe. Peu à peu ces plantes prennent vie, deviennent secrètes, menaçantes, malveillantes. Travaillant avec des effets minimalistes, The Secret Garden est ainsi un conte comme un film de science-fiction. C’est aussi un documentaire : autour des plantes, mangée par elles et les accueillant tout à la fois, Beyrouth vibre des chocs qu’elle a récemment endurés. Convalescente, et même encore rongée. Les plantes la protègent-elles ? L’artiste écrit : « le film ne parle pas d’événements en particulier mais plutôt essaie de capter les mutations provoquées par ces événements (…). Il est né d’une période où le familier est devenu étrange et où l’étrange est devenu familier. Ce décalage ouvre pour moi une brèche vers le monde du mystère et de la magie. »
Charlène Dinhut
Programmatrice et commissaire d'exposition
Nour Ouayda filme les plantes dans Beyrouth. Elle les filme en 16 mm et en 8 mm, leur donnant, sous le soleil, des couleurs et des matières splendides et un air de se moquer du temps qui passe. Peu à peu ces plantes prennent vie, deviennent secrètes, menaçantes, malveillantes. Travaillant avec des effets minimalistes, The Secret Garden est ainsi un conte comme un film de science-fiction. C’est aussi un documentaire : autour des plantes, mangée par elles et les accueillant tout à la fois, Beyrouth vibre des chocs qu’elle a récemment endurés. Convalescente, et même encore rongée. Les plantes la protègent-elles ? L’artiste écrit : « le film ne parle pas d’événements en particulier mais plutôt essaie de capter les mutations provoquées par ces événements (…). Il est né d’une période où le familier est devenu étrange et où l’étrange est devenu familier. Ce décalage ouvre pour moi une brèche vers le monde du mystère et de la magie. »
Charlène Dinhut
Programmatrice et commissaire d'exposition
Français
Anglais