Exploitation des énergies fossiles, révolution industrielle, taylorisme, agriculture intensive... depuis deux siècles, le progrès et la croissance ont durablement altéré l'état de la planète. Retour sur la façon dont le monde est entré dans l'anthropocène, ère débutée quand les activités humaines ont commencé à impacter l'écosystème terrestre d'une façon significative.
Réalisateur | Jean-Robert Viallet |
Acteur | l'équipe éditoriale de Tënk |
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La révolution industrielle ne s’est pas faite dans une inconscience modernisatrice, prévient la voix-off, qui rappelle celles de Chris Marker, source d’inspiration assumée de Jean-Robert Viallet dans ce documentaire constitué intégralement d’images d’archives de différents régimes. C’est en historien que le réalisateur aborde la question écologique, pour appréhender la nouvelle ère géologique sous laquelle nous vivons : l’Anthropocène.
De la révolution industrielle à nos jours, le film retrace la dépendance des enjeux écologiques au développement du capitalisme et à la course au supposé progrès qui le sous-tend, articulés autour d’une économie de la guerre, et de l’exploitation des humains et des ressources à travers le monde par l’Occident. L’Homme a mangé la Terre rappelle que toute politique est bien une question de choix, au contraire d’une idéologie qui voudrait nous faire croire, comme l’a si bien dit Margaret Thatcher, qu’il n’y pas d’alternatives.
L’équipe éditoriale de Tënk
La révolution industrielle ne s’est pas faite dans une inconscience modernisatrice, prévient la voix-off, qui rappelle celles de Chris Marker, source d’inspiration assumée de Jean-Robert Viallet dans ce documentaire constitué intégralement d’images d’archives de différents régimes. C’est en historien que le réalisateur aborde la question écologique, pour appréhender la nouvelle ère géologique sous laquelle nous vivons : l’Anthropocène.
De la révolution industrielle à nos jours, le film retrace la dépendance des enjeux écologiques au développement du capitalisme et à la course au supposé progrès qui le sous-tend, articulés autour d’une économie de la guerre, et de l’exploitation des humains et des ressources à travers le monde par l’Occident. L’Homme a mangé la Terre rappelle que toute politique est bien une question de choix, au contraire d’une idéologie qui voudrait nous faire croire, comme l’a si bien dit Margaret Thatcher, qu’il n’y pas d’alternatives.
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