Un village dans l’arrière-pays sarde. Pendant que la sécheresse bat son plein, de vieilles légendes émergent du territoire, convoquant des personnages et des lieux suspendus entre deux mondes. Une peintre se met au travail, des jeunes s’entraînent aux chants traditionnels, un berger lutte contre le feu… Seul l’orage viendra calmer les flammes.
Réalisateur | Myriam Raccah |
Acteur | Julia Pinget |
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Dès l’ouverture de son film, Myriam Raccah met en place les éléments narratifs de l’histoire : un livre de légendes traditionnelles sardes, la rencontre avec le village et les habitants d’Oliena et son amie et complice Pina. « Que pour vous », lui énonce clairement cette dame qui ouvre le film, alors que nous est donné à voir le dispositif de tournage. Personne ne sera dupe dans cette histoire. Les personnages jouent pour elle afin que renaissent « les sensations magiques et ténébreuses de la Sardaigne de mon enfance ». Dans ce théâtre documentaire, tout est très libre et réjouissant. La réalisatrice explore et aménage les légendes de ce pays en piochant de manière juste dans la réalité de ses protagonistes. Alors que « dans la vie, parfois, ce sont les choses dont on a le plus besoin qu’on oublie », Domus de janas, ces maisons des fées ou des sorcières, devient l’entrée par laquelle ce qui était enfoui peut de nouveau surgir et venir réparer les liens qui ont été perdus.
Julia Pinget
Réalisatrice
Dès l’ouverture de son film, Myriam Raccah met en place les éléments narratifs de l’histoire : un livre de légendes traditionnelles sardes, la rencontre avec le village et les habitants d’Oliena et son amie et complice Pina. « Que pour vous », lui énonce clairement cette dame qui ouvre le film, alors que nous est donné à voir le dispositif de tournage. Personne ne sera dupe dans cette histoire. Les personnages jouent pour elle afin que renaissent « les sensations magiques et ténébreuses de la Sardaigne de mon enfance ». Dans ce théâtre documentaire, tout est très libre et réjouissant. La réalisatrice explore et aménage les légendes de ce pays en piochant de manière juste dans la réalité de ses protagonistes. Alors que « dans la vie, parfois, ce sont les choses dont on a le plus besoin qu’on oublie », Domus de janas, ces maisons des fées ou des sorcières, devient l’entrée par laquelle ce qui était enfoui peut de nouveau surgir et venir réparer les liens qui ont été perdus.
Julia Pinget
Réalisatrice
Français
Anglais