Dans cet enregistrement de la "Symphonie n°5" en ut mineur de Beethoven, réalisé en 1966, la caméra du cinéaste Henri-Georges Clouzot capte toutes les nuances de l'interprétation, et reflète fidèlement la puissance et la passion de Karajan.
Réalisateur | Henri-Georges Clouzot |
Acteur | François Waledisch |
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Ici, Clouzot dirige Karajan dirigeant Beethoven : l'usage du playback et le tournage en studio offrent toute liberté aux partis pris du réalisateur qui, par ses lumières, cadres, mouvements de caméra et choix de montage, délivre une écriture qui pourrait être éditée en portées adjointes à la partition de Beethoven.
La grande connaissance musicale du réalisateur justifie cette version très personnelle et donne au spectateur un plaisir équivalent à celui d'un mélomane appréciant la direction d'un grand chef ; nous en savourons les choix et les audaces, là où la mise en image de l'orchestre nous leurre souvent d'une fausse objectivité éloignée de la vérité musicale.
François Waledisch
Ingénieur du son
Ici, Clouzot dirige Karajan dirigeant Beethoven : l'usage du playback et le tournage en studio offrent toute liberté aux partis pris du réalisateur qui, par ses lumières, cadres, mouvements de caméra et choix de montage, délivre une écriture qui pourrait être éditée en portées adjointes à la partition de Beethoven.
La grande connaissance musicale du réalisateur justifie cette version très personnelle et donne au spectateur un plaisir équivalent à celui d'un mélomane appréciant la direction d'un grand chef ; nous en savourons les choix et les audaces, là où la mise en image de l'orchestre nous leurre souvent d'une fausse objectivité éloignée de la vérité musicale.
François Waledisch
Ingénieur du son