Un portrait du photographe américain Robert Mapplethorpe, mort du sida en 1989, dont la vie était jugée tout aussi scandaleuse que ses photographies. Sa famille, ses amis, ses amants parlent de lui et de son intimité, dans une série d'interviews d'archives inédites, rendues publiques pour la toute première fois. Par son talent, Robert Mapplethorpe a permis à la photographie de trouver sa place au sein de l'art contemporain, grâce à des œuvres qui, au-delà de la disparition de cet artiste visionnaire et audacieux, continuent à faire débat.
Réalisateur | Fenton Bailey & Randy Barbato |
Acteur | Jérémie Jorrand |
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Robert Mapplethorpe, c'est New York, c'est Patti Smith, c'est la dèche, c'est les lofts d'artistes, c'est les années 80. C'est toute une imagerie qui intègre aussi quelques unes de ses photographies les plus célèbres. Il y a quelque chose de mythique et lointain dans le personnage, et pour en faire le portrait les réalisateurs choisissent la voie normale : des entretiens avec ses proches, des archives, sonores et visuelles, la reconstitution chronologique d'une histoire. Et c'est passionnant, parce qu'en se rapprochant du photographe on découvre, au-delà de la figure fascinante, une ambition folle et un égocentrisme que les témoins ne cherchent pas à dissimuler. De son travail génial, le film donne aussi une belle occasion de découvrir de très nombreuses images, connues ou méconnues, plus ou moins scandaleuses, des collages sublimes, des portraits troublants, des photos « parfaites », qu'elles soient de lys ou de pénis.
Jérémie Jorrand
Responsable de l'éditorial et de la programmation de Tënk
Robert Mapplethorpe, c'est New York, c'est Patti Smith, c'est la dèche, c'est les lofts d'artistes, c'est les années 80. C'est toute une imagerie qui intègre aussi quelques unes de ses photographies les plus célèbres. Il y a quelque chose de mythique et lointain dans le personnage, et pour en faire le portrait les réalisateurs choisissent la voie normale : des entretiens avec ses proches, des archives, sonores et visuelles, la reconstitution chronologique d'une histoire. Et c'est passionnant, parce qu'en se rapprochant du photographe on découvre, au-delà de la figure fascinante, une ambition folle et un égocentrisme que les témoins ne cherchent pas à dissimuler. De son travail génial, le film donne aussi une belle occasion de découvrir de très nombreuses images, connues ou méconnues, plus ou moins scandaleuses, des collages sublimes, des portraits troublants, des photos « parfaites », qu'elles soient de lys ou de pénis.
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