Disneyland, mon vieux pays natal
Durée : 46 minutesSur un récit raconté à la première personne, et adoptant une forme très expérimentale, le film montre un Disneyland fantasmé et distordu, et livre une passionnante réflexion sur le mythe de l’enfance, du rêve et de son aliénation, mais aussi sur le monde du spectacle et du travail.
Une image insolite de la vie sociale dans la capitale islandaise à travers un lieu unique – une piscine à ciel ouvert – et un dispositif filmique qui relève autant de l'installation vidéo, de la photo, du documentaire que de la caméra de surveillance. Ce film fait partie de la triloge _Polachromes_.
« Dans son petit bureau encombré de livres et d'articles de sport, je propose à l'écrivain Percival Everett d'explorer son œuvre et sa façon de travailler. Pendant nos échanges, je projette des images d'archives, des films et des paysages sur les murs de la pièce. Elles envahissent l'espace et résonnent avec ses textes, incarnent son imaginaire. Elles nourrissent aussi nos discussions, l'amènen...
Une journée à Istanbul, sur le Bosphore. Le flot des milliers de passagers journaliers est ponctué de portraits close-up à la recherche de l'âme d'Istanbul. Ce film fait partie de la triloge _Polachromes_.
Dans le Riga des noctambules. Une boîte de nuit à la mode où une nouvelle génération d'Européens fait l'apprentissage de la démocratie. La musique de Martin Wheeler accompagne des portraits baignés de rouge. Ce film fait partie de la triloge _Polachromes_.
Disneyland, mon vieux pays natal
Durée : 46 minutesSur un récit raconté à la première personne, et adoptant une forme très expérimentale, le film montre un Disneyland fantasmé et distordu, et livre une passionnante réflexion sur le mythe de l’enfance, du rêve et de son aliénation, mais aussi sur le monde du spectacle et du travail.
Une image insolite de la vie sociale dans la capitale islandaise à travers un lieu unique – une piscine à ciel ouvert – et un dispositif filmique qui relève autant de l'installation vidéo, de la photo, du documentaire que de la caméra de surveillance. Ce film fait partie de la triloge _Polachromes_.
« Dans son petit bureau encombré de livres et d'articles de sport, je propose à l'écrivain Percival Everett d'explorer son œuvre et sa façon de travailler. Pendant nos échanges, je projette des images d'archives, des films et des paysages sur les murs de la pièce. Elles envahissent l'espace et résonnent avec ses textes, incarnent son imaginaire. Elles nourrissent aussi nos discussions, l'amènen...
Une journée à Istanbul, sur le Bosphore. Le flot des milliers de passagers journaliers est ponctué de portraits close-up à la recherche de l'âme d'Istanbul. Ce film fait partie de la triloge _Polachromes_.
Dans le Riga des noctambules. Une boîte de nuit à la mode où une nouvelle génération d'Européens fait l'apprentissage de la démocratie. La musique de Martin Wheeler accompagne des portraits baignés de rouge. Ce film fait partie de la triloge _Polachromes_.