Confronté à la réalité du changement climatique et à l'épuisement des ressources, le réalisateur Emmanuel Cappellin prend conscience qu'un effondrement de notre civilisation industrielle est inévitable. Mais comment continuer à vivre avec l'idée que l'aventure humaine puisse échouer ? En quête de réponses, il part à la rencontre d'experts et de scientifiques tels que Pablo Servigne, Jean-Marc Jancovici ou Susanne Moser. Tous appellent à une action collective et solidaire pour préparer une transition la plus humaine possible..
Réalisateur | Emmanuel Cappellin |
Acteur | Jean-Marie Barbe |
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D’entrée de jeu, Emmanuel Cappellin raconte en off le parcours qui l’a amené à faire ce film, sur des images comme sorties d’un catalogue illustratif. On comprend que ce film est pour l'auteur une nécessité, un aboutissement. Très vite nous plongeons dans l’écoute des scientifiques qui se succèdent. C’est ce casting qui fait de Une fois que tu sais une puissante œuvre alarmiste, au sens premier : « qui alarme ». C'est une forme actuelle de cinéma politique, qui emprunte au cinéma d’auteur l’implication du réalisateur mais dont l’enjeu sociétal est premier. Ici : « le grand effondrement ». Comme tout documentaire politique, le film est clivant. Que l’on partage ou pas le point de vue de l’auteur, force est de constater en cette période d’urgence écologique que la qualité première de ce documentaire est sa détermination à alerter nos consciences.
Jean-Marie Barbe
Producteur, co-fondateur des États généraux du film documentaire de Lussas
D’entrée de jeu, Emmanuel Cappellin raconte en off le parcours qui l’a amené à faire ce film, sur des images comme sorties d’un catalogue illustratif. On comprend que ce film est pour l'auteur une nécessité, un aboutissement. Très vite nous plongeons dans l’écoute des scientifiques qui se succèdent. C’est ce casting qui fait de Une fois que tu sais une puissante œuvre alarmiste, au sens premier : « qui alarme ». C'est une forme actuelle de cinéma politique, qui emprunte au cinéma d’auteur l’implication du réalisateur mais dont l’enjeu sociétal est premier. Ici : « le grand effondrement ». Comme tout documentaire politique, le film est clivant. Que l’on partage ou pas le point de vue de l’auteur, force est de constater en cette période d’urgence écologique que la qualité première de ce documentaire est sa détermination à alerter nos consciences.
Jean-Marie Barbe
Producteur, co-fondateur des États généraux du film documentaire de Lussas
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