Ils s’appellent Fanta, Joffrey, Soumeya… Ils sont en prison, au lycée, au travail. Ils ne se connaissent pas et communiquent par messages vidéo. Ils ont en commun le projet un peu fou d’écrire une nouvelle Constitution. Pendant près d’un an ils vont imaginer d’autres règles du jeu, surmonter leurs désaccords, dépasser leurs différences, expérimenter un nouveau sens à la "politique". Cette aventure devrait les conduire jusqu'à l'Assemblée Nationale...
Réalisateurs | Patrice Chagnard, Claudine Bories |
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Ce texte entendu dans le film n'est pas rédigé par les membres du gouvernement : "Nous sommes un collectif animé par le désir de travailler sur nous mêmes. Le désir d’identifier les problèmes. Le désir de comprendre la société dans laquelle on vit. Le désir de se faire entendre et de prendre la parole. Le désir de considération. Le désir de justice. Le désir d’agir, de lutter, de transmettre et de se mobiliser. (...) Nous sommes des femmes, des hommes, au lycée, au travail, à la maison, dans la rue, en prison, nous sommes des jeunes conscients de l'état de la société actuelle et habités par une envie de changement."
Celui-ci est énoncé par Nicole Belloubet, alors garde des sceaux, s'adressant aux députés : "Il n’est pas toujours nécessaire de faire appel au peuple. Vous êtes parfaitement légitimes en tant que représentants. (...) C'est en faveur d'une République en marche que nous souhaitons porter ce projet de révision constitutionnelle".
La démocratie représentative est un argument bien pratique à qui veut confisquer le pouvoir.
L'équipe éditoriale de Tënk
Ce texte entendu dans le film n'est pas rédigé par les membres du gouvernement : "Nous sommes un collectif animé par le désir de travailler sur nous mêmes. Le désir d’identifier les problèmes. Le désir de comprendre la société dans laquelle on vit. Le désir de se faire entendre et de prendre la parole. Le désir de considération. Le désir de justice. Le désir d’agir, de lutter, de transmettre et de se mobiliser. (...) Nous sommes des femmes, des hommes, au lycée, au travail, à la maison, dans la rue, en prison, nous sommes des jeunes conscients de l'état de la société actuelle et habités par une envie de changement."
Celui-ci est énoncé par Nicole Belloubet, alors garde des sceaux, s'adressant aux députés : "Il n’est pas toujours nécessaire de faire appel au peuple. Vous êtes parfaitement légitimes en tant que représentants. (...) C'est en faveur d'une République en marche que nous souhaitons porter ce projet de révision constitutionnelle".
La démocratie représentative est un argument bien pratique à qui veut confisquer le pouvoir.
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