Cinéaste née à New York en 1945, Vivian Ostrovsky passe son enfance à Rio de Janeiro puis poursuit des études supérieures à Paris en psychologie ainsi qu’en cinéma. Elle co-fonde dans les années 1970 Ciné-Femmes, organisme dédié à la diffusion de films de femmes. Depuis 1980 Vivian Ostrovsky a réalisé plus de vingt films, la plupart tournés en Super-8, qui incluent souvent du found-footage, des extraits de fictions, de documentaires, ou de home-movies. Ses films exploitent le thème du déplacement, et se situent d’après Yann Beauvais entre le « film journal » et le « film collage ». Elle travaille également à l’organisation du festival du film de Jérusalem. Son travail a connu de nombreuses rétrospectives et expositions dans les musées et les festivals à travers le monde.
Des femmes se retrouvent pour l’été dans une maison provençale. Dans une nature assez idyllique, elles s’activent, peignent, font de la gym, se reposent, parfois vêtues, parfois non. On les voit aussi à l’intérieur de la maison, occupées aux préparatifs des repas et toujours en compagnie d’animaux, chats ou poulets. En dépit du rythme accéléré des images et de la bande son endiablée, l’atmosphè...
En 1960, la famille de Vivian Ostrovsky vivait au Brésil, quand son père a découvert que sa soeur et son frère, qu’il n’avait pas vus depuis 40 ans, étaient encore en vie à Moscou. Comme ils ne pouvaient pas quitter l’URSS, la famille Ostrovsky est allée leur rendre visite régulièrement pendant environ 15 ans. À travers un montage d’images familiales en super 8, d’archives d’actualités, d’extra...
Des femmes se retrouvent pour l’été dans une maison provençale. Dans une nature assez idyllique, elles s’activent, peignent, font de la gym, se reposent, parfois vêtues, parfois non. On les voit aussi à l’intérieur de la maison, occupées aux préparatifs des repas et toujours en compagnie d’animaux, chats ou poulets. En dépit du rythme accéléré des images et de la bande son endiablée, l’atmosphè...
En 1960, la famille de Vivian Ostrovsky vivait au Brésil, quand son père a découvert que sa soeur et son frère, qu’il n’avait pas vus depuis 40 ans, étaient encore en vie à Moscou. Comme ils ne pouvaient pas quitter l’URSS, la famille Ostrovsky est allée leur rendre visite régulièrement pendant environ 15 ans. À travers un montage d’images familiales en super 8, d’archives d’actualités, d’extra...