Née en 1979 à Belgrade (Serbie), Mila Turajlić est titulaire d’un doctorat en cinéma (Westminster). Diplômée également en sciences politiques et relations internationales à Londres, elle étudie la production cinématographique à Belgrade et la réalisation documentaire à La Fémis, à Paris. Son premier long métrage documentaire, Cinema Komunisto (2011) qui fait voyager à travers les vestiges en ruine de l'industrie cinématographique de Tito, a reçu seize prix à travers le monde. Outre sa participation à la création du festival Magnificent 7 à Belgrade, elle est l’une des fondatrices de l'association des documentaristes DOKSerbia. Elle enseigne notamment la réalisation de films documentaires et l'utilisation créative des archives à SciencesPo et à l'INASup à Paris.
Leka Konstantinovic, projectionniste personnel de Josip Broz Tito durant 32 ans, a montré exactement 8801 films au président de la Yougoslavie. Avec des réalisateurs, vedettes et chefs de studio yougoslaves, il nous raconte comment le Maréchal Tito (1892-1980) a donné forme à la Yougoslavie d’après-guerre et a en même temps utilisé l’industrie cinématographique pour créer l’histoire du nouveau ...
Une porte condamnée dans un appartement de Belgrade révèle l’histoire d’une famille et d’un pays dans la tourmente. Tandis que la réalisatrice entame une conversation avec sa mère, le portrait intime cède la place à son parcours de révolutionnaire, à son combat contre les fantômes qui hantent la Serbie, dix ans après la révolution démocratique et la chute de Slobodan Milošević.
Leka Konstantinovic, projectionniste personnel de Josip Broz Tito durant 32 ans, a montré exactement 8801 films au président de la Yougoslavie. Avec des réalisateurs, vedettes et chefs de studio yougoslaves, il nous raconte comment le Maréchal Tito (1892-1980) a donné forme à la Yougoslavie d’après-guerre et a en même temps utilisé l’industrie cinématographique pour créer l’histoire du nouveau ...
Une porte condamnée dans un appartement de Belgrade révèle l’histoire d’une famille et d’un pays dans la tourmente. Tandis que la réalisatrice entame une conversation avec sa mère, le portrait intime cède la place à son parcours de révolutionnaire, à son combat contre les fantômes qui hantent la Serbie, dix ans après la révolution démocratique et la chute de Slobodan Milošević.