Né en 1974 au Burkina Faso, Michel K. Zongo est réalisateur, producteur et cadreur. Il a suivi une formation en prise de vues au Centre national de la cinématographie du Burkina Faso, ainsi que des stages de cameraman et de premier assistant opérateur, au Burkina Faso comme en France. Chef opérateur image et assistant réalisateur pour de nombreux films, il écrit et réalise en 2009 son premier documentaire "Sibi, l’âme du violon". Suivront "Espoir Voyage" (2011), "La Sirène de Faso Fani" (2014), "Pas d'or pour Kasalka" (2019). Après une formation en production à Cinedoc en France en 2010, il devient cogérant de la société Diam production, basée au Burkina Faso. Également directeur artistique du festival KoudougouDoc, les rencontres documentaires de Koudougou, il est l'auteur à ce jour d’une dizaine de films documentaires, longs et courts métrages.
Dans les années 2000, l'État burkinabé délivre plusieurs permis d'exploitation minière à des sociétés multinationales, c'est le début du boom minier, ou "la ruée vers l'or". La première mine d'or d'exploitation industrielle à ciel ouvert est construite en juin 2006 à Kalsaka par la société anglaise Kalsaka Mining SA pour exploiter dix-huit tonnes en une décennie. Mais "l'or n'a p...
En 2001, Faso Fani, la célèbre manufacture de cotonnade burkinabé ferme, entrainant le chômage de centaines d’employés et la misère, conséquences désastreuses d’une politique économique mondiale aveugle aux réalités locales. Dix ans après cette catastrophe économique et sociale, Michel K. Zongo revient à Koudougou, sa ville natale, et dans cette usine qui a marqué son enfance. Les ex-employés, ...
Dans les années 2000, l'État burkinabé délivre plusieurs permis d'exploitation minière à des sociétés multinationales, c'est le début du boom minier, ou "la ruée vers l'or". La première mine d'or d'exploitation industrielle à ciel ouvert est construite en juin 2006 à Kalsaka par la société anglaise Kalsaka Mining SA pour exploiter dix-huit tonnes en une décennie. Mais "l'or n'a p...
En 2001, Faso Fani, la célèbre manufacture de cotonnade burkinabé ferme, entrainant le chômage de centaines d’employés et la misère, conséquences désastreuses d’une politique économique mondiale aveugle aux réalités locales. Dix ans après cette catastrophe économique et sociale, Michel K. Zongo revient à Koudougou, sa ville natale, et dans cette usine qui a marqué son enfance. Les ex-employés, ...