Marcel Carrière débute dans l'industrie du cinéma en 1956 comme preneur de son à l'Office National du Film et participe à plus d'une centaine de productions. À la fin des années 1970, il est nommé directeur du Comité du programme français - qui soutient la création francophone au sein de l'ONF. Il participe aussi à la création de l'Institut national de l'image et du son et de la Phonothèque québécoise. Il est considéré comme l'un des précurseurs des techniques de captations sonores synchrones dans le cinéma documentaire. Lors du tournage de "Pour la suite du monde", il multiplie les innovations tant au niveau des pratiques de captations (microphones attachés aux vêtements, etc.) que des outils utilisés (magnétophone Nagra III). Son apport au tournage est tel qu'au générique, son nom apparait aux côtés de Pierre Perrault et Michel Brault.
Ce documentaire propose une incursion dans le monde de la lutte professionnelle à Montréal. Les combats, simulés et spectaculaires, se déroulent au Forum de Montréal, mais aussi à l'arrière-scène, lieux où se pratique cet art guerrier. Les caméras, attentives aux moindres détails, captent les bons et les méchants lutteurs qui s'empoignent, se frappent, rugissent et grimacent, rivalisant d'ingén...
Ce documentaire propose une incursion dans le monde de la lutte professionnelle à Montréal. Les combats, simulés et spectaculaires, se déroulent au Forum de Montréal, mais aussi à l'arrière-scène, lieux où se pratique cet art guerrier. Les caméras, attentives aux moindres détails, captent les bons et les méchants lutteurs qui s'empoignent, se frappent, rugissent et grimacent, rivalisant d'ingén...