Manuela Frésil commence sa carrière dans les années 90 en tant que scénariste et écrit plusieurs fictions. À partir de 1992, elle réalise des documentaires. Avec "Notre campagne" en 2000, elle tente de démystifier la vie paysanne puis elle aborde en 2003 dans "Si loin des bêtes" la problématique de l'élevage industriel où la vie des animaux, comme celle des éleveurs, n'est plus qu'un rouage du système de production. Enfin en 2008, elle écrit le scénario du projet Abattoir où elle revient vers cet univers à travers les conditions de travail dans les grands abattoirs industriels d'Europe. Le texte de ce documentaire qui a fait l'objet d'une mise en scène théâtrale à Poitiers, devient en 2011 "Entrée du personnel", Grand Prix de la Compétition Française du FIDMarseille. Parallèlement, elle enseigne le cinéma dans plusieurs écoles et anime, dans les années 2000, des ateliers vidéo avec notamment Le GREC (Groupe de Recherches et Essais Cinématographiques). Dans le cadre de ces ateliers, elle réalisera en 2004 avec des malades psychotiques "7 plus un épilogue" ou encore "Voisine(s)", en 2008. En 2018, elle suit dans "Le Bon Grain et l'Ivraie", des enfants de familles qui vivent à la rue en attente de régularisation, à Annecy.
Des histoires que des enfants inventent, racontent et mettent en scène en jouant avec des poupées Barbie. On découvre ici ce qui se passe derrière la porte de la chambre dès que l'on a le dos tourné : un monde imaginaire avec ses joueuses, ses joueurs et ses règles du jeu que les enfants expriment avec précision.
Des histoires que des enfants inventent, racontent et mettent en scène en jouant avec des poupées Barbie. On découvre ici ce qui se passe derrière la porte de la chambre dès que l'on a le dos tourné : un monde imaginaire avec ses joueuses, ses joueurs et ses règles du jeu que les enfants expriment avec précision.