Luis Ospina est l’une des figures les plus influentes du cinéma colombien. Depuis les années 1970, il a enregistré les histoires de son pays et de ses amis et a exploré les frontières entre fiction et documentaire avec un sens de l'humour, de l’audace, de l’imagination formelle et une grande empathie pour les personnes marginales. Il s’est toujours opposé à la culture officielle, cherchant de nouvelles façons non seulement d’interpréter et d’analyser la réalité sociale à travers ses films, mais aussi d’agir dessus. Photo : Juan Cristobal Cobo
Oiga vea! est un documentaire interrogeant les retombées paradoxales des sixièmes Jeux Panaméricains de 1971, qui se sont déroulés à Cali, la troisième ville du pays. Le film prend le point de vue des personnes laissées en marge des stades, qui regardent démunies l’organisation titanesque de cette manifestation se déroulant dans leur ville.
En quelques minutes, un panorama de la feria de Cali, qui se déroule entre Noël et le Nouvel An, entre festivités et satire critique.
Parabole anarchiste, transgressive et pleine d’humour sur la rébellion d’une employée domestique qui refuse de jouer le jeu. Le Ministère de la communication avait refusé à deux reprises le label de qualité à ce film qui a finalement obtenu le premier prix du court métrage Colcultura (Institut colombien de la Culture).
Une équipe de télévision tourne dans les rues de Cali à la recherche de pauvres, de clochards, de putes, d'enfants des rues, afin de construire une mise en scène de la misère. Un film d'action parodiant un documentaire sur les cinéastes qui exploitent la pauvreté à des fins commerciales.
Oiga vea! est un documentaire interrogeant les retombées paradoxales des sixièmes Jeux Panaméricains de 1971, qui se sont déroulés à Cali, la troisième ville du pays. Le film prend le point de vue des personnes laissées en marge des stades, qui regardent démunies l’organisation titanesque de cette manifestation se déroulant dans leur ville.
En quelques minutes, un panorama de la feria de Cali, qui se déroule entre Noël et le Nouvel An, entre festivités et satire critique.
Parabole anarchiste, transgressive et pleine d’humour sur la rébellion d’une employée domestique qui refuse de jouer le jeu. Le Ministère de la communication avait refusé à deux reprises le label de qualité à ce film qui a finalement obtenu le premier prix du court métrage Colcultura (Institut colombien de la Culture).
Une équipe de télévision tourne dans les rues de Cali à la recherche de pauvres, de clochards, de putes, d'enfants des rues, afin de construire une mise en scène de la misère. Un film d'action parodiant un documentaire sur les cinéastes qui exploitent la pauvreté à des fins commerciales.